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Actualité du Sahara occidental - Page 148

  • Le SG de l’ONU regrette les conséquences de ses déclarations lors de la visite dans les camps de Tindouf

    "Rien de ce qu’a dit ou fait " Ban Ki-moon dans la région n’a été fait pour "offenser ou exprimer l’hostilité au Maroc....un membre éminent des Nations Unies"

    Le porte-parole du Secrétaire général des Nations Unies, Stéphane Dujarric, a déclaré, lors du point de presse quotidien du lundi 28 mars 2016, que Ban Ki-moon regrette le malentendu autour du terme «occupation» qu'il a lui-même utilisé, lors de son voyage dans les camps de Tindouf.
    Le porte-parole indique qu’il s’agissait d’"une réaction personnelle spontanée", face aux conditions difficiles dans lesquelles vivent les habitants des camps, depuis de longues décennies, à cause de l’absence de solution à l’affaire du Sahara.
    Stéphane Dujarric estime qu’"Il est utile de comprendre les circonstances dans lesquelles le secrétaire général de l’ONU a utilisé le terme "occupation", une seule fois en réponse à la question d’un journaliste et l’«utilisation de ce terme n’était ni préméditée, ni délibérée".
    Le porte-parole ajoute "rien de ce qu’il (Ban Ki-moon) a dit ou fait " pendant sa visite dans la région n’a été fait avec l’objectif d’"offenser ou exprimer de l’hostilité envers le Royaume du Maroc qui est un membre éminent des Nations Unies".

    Sources : le site politique du Sahara occidental :
    www.corcas.com
    Voir aussi : Le portail du Sahara occidental :
    www.sahara-online.net
    Le site de la culture hassanie :
    www.sahara-culture.com
    Le site des villes du Sahara occidental :
    www.sahara-villes.com
    Le site du développement économique du Sahara occidental:
    www.sahara-developpement.com
    Le site social du Sahara occidental :
    www.sahara-social.com

  • Un groupe de 15 pays exprime à Genève son “soutien fort” à l’initiative d’autonomie au Sahara

    Un groupe de pays a exprimé, mercredi au Conseil des droits de l'Homme de l'ONU, son «soutien fort» à l'initiative marocaine d'autonomie comme base crédible pour le règlement du différend régional sur le Sahara.
    Dans une déclaration conjointe devant l'organe onusien en réaction à une démarche tendancieuse de l'Algérie pour dévoyer les débats du Conseil, le Maroc, soutenu par une quinzaine de pays, a dénoncé «les manœuvres visant à politiser nos discussions et à nuire à la noble finalité de promotion et de protection des droits humains».
    «Le Royaume du Maroc mène des réformes démocratiques pionnières dans la région africaine et la zone MENA, lesquelles ont contribué à l'élargissement de l'espace des droits de l'Homme et des libertés sur l'ensemble de son territoire, y compris la région du Sahara», souligne la déclaration. Les pays signataires du document ont affirmé que la société civile marocaine et le Conseil national des droits de l'Homme «jouent un rôle central dans l'approfondissement de cette expérience démocratique».
    Le Conseil de sécurité de l'ONU, ont-ils rappelé, a reconnu l'importance de ce rôle et de l'action des commissions régionales de Laâyoune et Dakhla, dans l'effort de promotion et de protection des droits humains au Sahara.
    Donnant lecture à cette déclaration conjointe, l'ambassadeur représentant permanent du Royaume à Genève, Mohamed Aujjar, a relevé que c'est dans ce cadre de coopération strictement bilatéral que la Mission technique du Haut-commissariat aux droits de l'Homme (HCDH), s'est rendue à Rabat, Laâyoune et Dakhla en 2015, à l'invitation du gouvernement marocain.
    «Cette invitation procède de la coopération constante du Maroc avec l'Office du haut-commissaire et de son engagement à renforcer son interaction avec les mécanismes onusiens des droits de l'Homme», a-t-il poursuivi.
    Il a à cet égard remercié le haut-commissaire aux droits de l'Homme pour l'intérêt qu'il accorde au renforcement de cette coopération et, surtout, à la préservation du caractère bilatéral de cette Mission technique, loin de toute interférence ou instrumentalisation par toute autre partie tierce. «L'objectif de cette coopération étant de travailler pour renforcer les capacités d'action des commissions régionales de Dakhla et Laâyoune», a-t-il fait observer.
    M. Aujjar a souligné dans ce contexte que l'appel à la publication d'un rapport sur cette mission constitue une manœuvre politique qui vise à politiser cette mission technique et à créer un débat sur la question politique du Sahara au sein de ce Conseil, alors que celle-ci est directement gérée par le Conseil de sécurité. La démarche algérienne, a-t-il expliqué, renseigne sur le désarroi de l'Algérie suite à ses échecs répétés et sa frustration par rapport à la dynamique de développement dans la région, notamment après la récente visite royale dans les provinces sahariennes marquées par le lancement de projets structurants à même de rayonner sur les plans local, national et régional.
    M. Aujjar a rappelé que parallèlement à sa coopération avec le HCDH, le Maroc maintient une interaction positive avec les procédures spéciales du Conseil. En effet, onze procédures de l'ONU ont visité le Royaume, y compris les villes sahariennes du Royaume où elles ont eu un accès libre et total à tous les intervenants et les représentants de la société civile. Il a également mis en exergue les nombreux projets de développement initiés dans la région du Sahara dans des secteurs aussi variés que les infrastructures portuaires, routières, agricoles, halieutiques, universitaires et sanitaires.
    «L'adhésion et la participation de la population locale à ces projets de développement tout comme leur forte participation aux échéances électorales nationales et locales sont la meilleure preuve de leur attachement à l'unité et l'intégrité territoriale du pays», a-t-il conclu. Cette déclaration conjointe a été présentée au nom, notamment, de la Guinée, du Gabon, de la Côte d'Ivoire, du Sénégal, de la Centrafrique, des Comores, d'Oman, de l'Arabie saoudite, des Émirats arabes unis, du Bahreïn, du Qatar, de la Jordanie, du Koweït et du Maroc.

    Sources : le site politique du Sahara occidental :
    www.corcas.com
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  • Congressman US Carlos Curbelo : Ban Ki-moon "n'est plus un facilitateur de paix légitime"

    L’autonomie au Sahara, sous souveraineté marocaine, est soutenue par 3 administrations américaines de Bill Clinton, à au Président Obama en passant par George W. Bush

    Le Secrétaire général des Nations Unies, Ban Ki-moon, "n'est plus un facilitateur de paix légitime" suite aux actions et propos condamnables qu'il a tenus lors de sa dernière tournée dans la région, a déclaré mercredi le congressman américain, Carlos Curbelo, dans un entretien à la MAP.

    "Nous nous tenons aux côtés de Sa Majesté le Roi Mohammed VI et du peuple marocain, tout comme nous sommes très déçus par la sortie de Ban Ki-moon au sujet de la question du Sahara", a insisté le législateur US, notant que "le secrétaire général de l'ONU se doit d'observer une neutralité à toute épreuve en tant que facilitateur de paix honnête".

    Ban Ki-moon, a-t-il martelé, "n'est plus qualifié pour œuvrer vers une solution à la question du Sahara", ajoutant que tous les efforts "doivent être déployés pour condamner les propos et actions du SG de l'ONU et de barrer la route à toute tentative visant à porter atteinte aux intérêts de notre allié, le Royaume du Maroc".

    Carlos Curbelo a tenu à rappeler, dans ce contexte, le soutien d'une grande majorité bi-partisane au Congrès des Etats-Unis "à notre grand allié, le Maroc", en réaffirmant le soutien fort de l'institution législative US, avec ses deux Chambres, non seulement au plan d'autonomie au Sahara, sous souveraineté marocaine, mais aussi à bien d'autres domaines du partenariat Rabat-Washington.

    Le Maroc, s'est-il félicité, "est un allié stratégique de la première heure des Etats-Unis", en expliquant que le partenariat d'exception unissant les deux nations se déploie aussi dans la lutte contre le radicalisme religieux et la crise migratoire en Europe.

    "Je demeure confiant qu'au moment où le congrès US entame l'examen de la nouvelle loi de finances au titre de l'année 2017, Républicains et Démocrates continueront à être unis dans leur soutien au Royaume", a dit Carlos Curbelo.

    Il convient de rappeler que la loi de finances US pour l'exercice 2016, adoptée par le Congrès et promulguée par le Président des Etats-Unis, Barack Obama, stipule encore une fois que l'aide américaine destinée au Maroc soit affectée à l'ensemble du territoire national, y compris les provinces du sud.

    Dans son rapport législatif, le Congrès, avec ses deux Chambres, avait réitéré son soutien bipartisan fort et sans équivoque à la politique américaine en vigueur, de longue date, portant sur une solution négociée à la question du Sahara, sur la base du plan d'autonomie, sous souveraineté marocaine, et a encouragé le secteur privé américain à investir dans les provinces du sud.

    Ce rapport stipule, en effet, expressément que les fonds destinés à l'aide au Maroc soient également "rendus disponibles" au profit des provinces du sud, ajoutant que le Congrès US "demeure préoccupé par l'échec enregistré sur la voie du règlement du conflit du Sahara et par la situation des populations dans les camps de Tindouf, au sud-ouest de l'Algérie".

    Le Congrès appelle, dans ce sens, "le Secrétaire d'Etat (John Kerry) à œuvrer dans le sens d'un règlement négocié à ce conflit, en droite ligne de la politique américaine soutenant une solution sur la base du plan marocain d'autonomie", en soulignant que ces efforts diplomatiques intensifiés sont de nature à aboutir à "un règlement réaliste à ce conflit qui n'a que trop duré et à la fin de la mission onusienne en cours depuis plus de deux décennies".

    La branche législative US recommande, en outre, à l'administration d'encourager le secteur privé US à investir dans les provinces du Sud du Royaume.

    Rappelons également que le plan d'autonomie au Sahara, sous souveraineté marocaine, est soutenu par trois administrations américaines successives depuis celle de Bill Clinton, à l'exécutif que dirige le Président Obama en passant par l'administration de George W. Bush, ainsi que par le Congres avec ses deux chambres.

    Sources : le site politique du Sahara occidental :
    www.corcas.com
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    Le site des villes du Sahara occidental :
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