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tindouf - Page 186

  • La Fédération mondiale des anciens combattants appelle à un règlement au Sahara sur la base de l'initiative d'autonomie

    La communauté des anciens combattants, qui a pris part à la 28ème Assemblée générale de la Fédération mondiale des anciens combattants (FMAC), réunie du 31 août au 4 septembre à Sopot en Pologne, “est consciente de la légalité de la position marocaine concernant la question des provinces sahariennes”, a affirmé le Haut-Commissaire aux anciens résistants et anciens membres de l’armée de libération, El Mostafa El Ktiri.

    "La communauté des anciens combattants est consciente de la légalité de la position marocaine concernant la question des provinces sahariennes. Elle est, de plus en plus, convaincue que le Maroc est tellement dans ces droits et qu'il s'agit d'un conflit que l'Algérie veut continuer à pérenniser pour des intérêts bassement étroits et inavoués et c'est la raison pour laquelle nous n'avons pas trouvé de difficulté à faire passer le projet de résolution" appelant à un règlement du conflit autour du Sahara marocain sur la base de l'initiative marocaine d'autonomie, a souligné M. El Ktiri dans une déclaration à la MAP.

    Il a expliqué que cette résolution, présentée par la délégation marocaine, a été adoptée "à la majorité des voix pour et quelques abstentions, mais aucune voix contre", n'a été enregistrée.

    Le projet de résolution "a retenu l'attention des délégations présentes et suscité leur intérêt notamment quant à la façon d'aborder le problème du conflit sur les provinces sahariennes récupérées et sur les conditions inhumaines dans lesquelles vivent les sahraouis séquestrés dans les camps de Tindouf", a souligné le Haut-Commissaire aux anciens résistants et anciens membres de l'armée de libération.

    "La délégation algérienne, avec qui nous avons discuté dans le cadre d'un dialogue franc et cordiale mais surtout ferme, a compris l'enjeu de ce projet de résolution et a émis des réserves dès le départ quant à l'opportunité de poser le problème devant l'AG de la FMAC en prétextant qu'il s'agit d'une question qui relève aujourd'hui des Nations Unies et qu'il faut laisser les Nations unies faire leur travail", a-t-il poursuivi.

    Dans sa réponse à cette requête, la délégation marocaine a souligné que "c'est parce que le problème est posé au niveau international et que la partie algérienne n'est pas disposée à ouvrir le dialogue avec le Maroc, ni à ouvrir les frontières non plus, et bien autant le poser et qu'il n'était pas question du tout de revenir sur le projet de résolution", a-t-il observé, relevant que nous étions ferme à ce sujet pour dire que ce n'est pas la première fois que la délégation marocaine propose de telles résolutions puisque qu'en novembre 2012 à Amman, la 27-ème AG de la FMAC "a voté également à la majorité deux projets de résolutions, l'un sur la nécessité de mettre un terme à la situation inhumaine des séquestrés dans les camps de Tindouf, et le second a porté sur le règlement définitif du conflit autour du Sahara".

    L'un des membres de la délégation algérienne a, dans son intervention, parlé de la position classique de l'Algérie en évoquant "le droit des peuples à l'autodétermination" et "du peuple sahraoui", mais "aucune délégation n'a jugé bon de poser une question là-dessus ou de demander un éclaircissement", a souligné le Haut-Commissaire aux anciens résistants et anciens membres de l'armée de libération. "Le projet de résolution est passé haut la main", s'est-il félicité.

    M. El Ktiri a relevé, à ce propos, que "la résolution met l'accent sur le recensement et l'enregistrement des populations dans les camps de Tindouf ", précisant qu'elle évoque la résolution du Conseil de sécurité, adoptée en avril 2015, et rappelle également le dernier appel du SG de l'ONU, Ban Ki-moon sur la même question à savoir l'impératif de procéder au recensement et à l'enregistrement des populations afin de déterminer combien il y a réellement de sahraouis.

    La résolution appelle aussi à "mettre fin à la situation inhumaine des populations sahraouies dans les camps de Tindouf" (Sud-ouest de l'Algérie), a-t-il noté.

    "Nous savons qu'il y a plus de 12.000 sahraouis qui ont regagné la mère-patrie, le Maroc. Il ne reste pas beaucoup dans les camps de Tindouf si ce n'est les mercenaires qui viennent d'un peu partout, des pays voisins", a-t-il ajouté.

    Sources : le site politique du Sahara occidental :  

                www.corcas.com

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  • La participation élevée dans les provinces du sud au scrutin du 4 septembre, un plébiscite de l’initiative marocaine d’autonomie

    L’enthousiasme remarqué et remarquable exprimé par la population saharienne marocaine pour les communales et régionales 2015 dénote d’une forte adhésion à l’offre d’autonomie.

    Bien avant la fermeture des bureaux de vote, ce vendredi 4 septembre, précisément à 17 heures, le taux de participation aux élections communales et régionales  frôlait la moyenne de 60%, dans les provinces du sud.

    Dans certaines provinces de la région du  Sahara, ce taux atteignait même de nouveaux records tel les 79,53 % dans la province d’Aousserd.

    La participation massive aux élections et à toutes les consultations électorales est une tradition dans les provinces du sud. 

    Mais dans le cas des élections communales et régionales du 4 septembre dernier, le sens de cette participation est encore plus important car il s’agit de la première fois où l’on vote pour l’élection régionale au suffrage universel, première étape sur le chemin de la réalisation de la régionalisation avancée. D’où le message fort envoyé par les électeurs des provinces du sud.

    Ainsi, le taux de participation, l’un des plus élevés, voir le plus élevé à l’échelle de tout le royaume, dénote, à qui veut bien voir ou entendre, un plébiscite populaire remarquable de l’initiative marocaine pour l’octroi d’un statut d’autonomie pour le Sahara marocain. Et, par ricochet, un rejet catégorique de la thèse des ennemis de l’intégrité territoriale du Maroc.

    Sources : le site politique du Sahara occidental :  

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  • Le mur défensif de sable n'est pas un mur de séparation selon le rapport du SG de l'ONU de 1988

    Grace au mur le Sahara marocain constitue la zone la plus sûre du Grand Sahara et son efficacité  renforcée  par un autre mur sur les frontières avec l'Algérie 

    Les données de la dépêche de l'Agence France Presse (AFP), dans laquelle elle présente le mur défensif de sable au Sahara marocain parmi les principaux murs de séparation dans le monde, sont ''erronées et contraires à la réalité'', a affirmé, lundi dans un communiqué, le ministre de la Communication, porte-parole du Gouvernement.

    ''L'Agence France Presse a publié, le 21 août 2015, une dépêche assortie d'une carte sur ''les principaux murs de séparation dans le monde'', en présentant le mur défensif de sable au Sahara marocain parmi ces murs'', rappelle le communiqué, soulignant que ''les données de la dépêche sont erronées et contraires à la réalité''.

    ''Le mur défensif de sable, tel que décrit par le rapport du Secrétaire général de l'ONU le 20 octobre 1988, n'est pas un mur de séparation. Un point de passage est en effet opérationnel et ouvert aux populations concernées'', a tenu à clarifier la même source.

    ''Le mur défensif de sable a été construit pour garantir le droit du Maroc à la préservation de sa sécurité et pour lutter contre l'utilisation du Sahara comme passage pour les réseaux terroristes, le trafic des êtres humains et le trafic de drogue'', relève-t-on précisant que ''grâce à ce dispositif, le Sahara marocain constitue la zone la plus sûre dans la région du Grand Sahara''.

    Au cours des deux dernières années, ce mur a été renforcé par un autre mur allant de la Méditerranée, sur une longueur de 150 Km longeant les frontières avec l'Algérie au Nord-est du Royaume. ''L'objectif est également de sécuriser les frontières contre les réseaux terroristes, le trafic de drogue, la contrebande, et l'immigration clandestine. Ce mur a lui aussi prouvé son efficacité'', a conclu la même source.

    Sources : le site politique du Sahara occidental :  

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