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Position - Page 58

  • Le soutien de Washington au plan d’autonomie au Sahara, une reconnaissance du leadership régional du Maroc

    Le "soutien explicite à la justesse du plan marocain d'autonomie par Obama, en droite ligne de la politique suivie par trois administrations US, depuis celle dirigée par le Président Bill Clinton à l'actuelle en passant par l'exécutif de George W. Bush, se veut une reconnaissance par les Etats-Unis du leadership régional de Sa Majesté le Roi et de Sa force de projection stabilisatrice dans le continent", explique Peter Pham, Directeur de l'Africa Center, relevant du prestigieux think tank US, Atlantic Council. 

    Elle se veut aussi une reconnaissance, à sa juste valeur, "du rôle constructif joué par le Maroc dans le but de trouver une solution définitive à ce conflit artificiel", a-t-il dit, en faisant observer que ce soutien ainsi exprimé par les Etats-Unis va au-delà de cette question "pour embrasser une coopération affirmée entre Washington et Rabat dans le but d'asseoir une coopération triangulaire en Afrique, notamment en matière de sécurité et de développement". 

    Dans le message que Sa Majesté le Roi Mohammed VI a adressé récemment au président américain Barack Obama à l'occasion de la fête nationale de son pays (4 juillet), le Souverain a mis en exergue les relations distinguées fondées sur l'amitié historique solide, l'estime réciproque et la coopération fructueuse qui unissent le Royaume du Maroc et les Etats-Unis d'Amérique. 

    Le soutien "clair" des Etats-Unis au plan d'autonomie au Sahara, sous souveraineté marocaine, s'inscrit en droite ligne de l'adhésion dont fait l'objet l'initiative marocaine auprès des capitales des grandes puissances mondiales en particulier, et au sein de la communauté internationale en général. 

    Dans la même veine, l'appel téléphonique, du 22 janvier 2015, entre Sa Majesté le Roi Mohammed VI et le Secrétaire général des Nations Unies, Ban Ki-moon, à l'initiative de ce dernier, a été l'occasion pour la voix onusienne la plus autorisée de conforter le Maroc dans sa bonne foi et sa position de principe quant au strict respect du mandat actuel de la Minurso, dans le plein respect des paramètres de négociations tels que définis par le Conseil de sécurité. 

    En informant le Souverain qu'"il a pris dûment compte des commentaires et observations du Maroc", tout en donnant "des assurances fermes quant à la neutralité, l'objectivité et l'impartialité des responsables de l'ONU en charge de la conduite de la facilitation onusienne", M. Ban Ki-moon barre, par la même occasion, la voie aux manœuvres pernicieuses et aux velléités obstructionnistes visant à faire dérailler le processus de sa trajectoire légale. 

    Conforme à la légalité internationale, l'approche du Royaume porte en elle le souci constant du Souverain d'inscrire la démarche du Maroc dans un haut sens de l'histoire et de la responsabilité, en droite ligne des équilibres et des impératifs géostratégiques qui commandent d'éviter les approches partiales et les options périlleuses qui sont de nature à plonger la région, dans son ensemble, dans des abîmes insondables, en faisant le lit aux groupes terroristes qui ont infiltré à une large échelle les camps de Tindouf et dont la collusion avec le Polisario n'est plus à démontrer. 

    En partenaire écouté et respecté dans le concert des nations, le Maroc propose le chemin de la modération en mettant sur la table un plan d'autonomie au Sahara, sous souveraineté marocaine, que les puissances mondiales et les résolutions pertinentes du Conseil de sécurité qualifient de sérieux, crédible et réaliste. 

    Il appartient aujourd'hui aux autres parties de s'inscrire dans cette sagesse porteuse de promesses d'un avenir fait de prospérité et de bien-être partagés auxquels aspirent les peuples de la région, qui se trouvent en proie aux visées croisées des groupes terroristes inspirés de l'idéologie funeste d'Al-Qaida et de Daech. 

    En tenant à remercier Sa Majesté le Roi "pour le rôle actif et l'engagement constructif du Royaume en appui à l'agenda de l'ONU que ce soit pour le maintien de la paix, la promotion du développement humain et la lutte contre l'extrémisme et la radicalisation", le Secrétaire général de l'ONU reconnaît encore une fois le leadership régional du Royaume en tant que force de projection stabilisatrice contre le péril que constitue l'alliance entre le radicalisme et le séparatisme.

    Sources : le site politique du Sahara occidental :  

                www.corcas.com

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  • Un journal espagnol met à nu la manipulation politique du dossier Takbar Haddi par l’Algérie et le Polisario

    Le décès du fils une bagarre de voisinage est une affaire de droit commun

    Un journal espagnol met à nu les mensonges de la dénommée Takbar Haddi et l’instrumentalisation politique du décès de son fils le 8 février dernier suite à une rixe avec ses voisins à Laâyoune.

    La dénommée Takbar Haddi, qui est manipulée par le Polisario et l’Algérie, veut transformer le décès de son fils, Mohamed Lamine Haidalla, en une "affaire politique (...) pour donner l’impression que les droits de l’homme sont violés au Sahara ", souligne dans un article le quotidien canarien La Provincia, notant que ce n'est pas la première fois que le Polisario tente d’instrumentaliser politiquement une affaire normale.

    Haidala avait succombé à ses blessures dans un hôpital d'Agadir suite à une bagarre avec des voisins à Laâyoune, rappelle-t-on.

    A travers ses manœuvres à Laâyoune et à Las Palmas, la famille du défunt, notamment sa mère et son frère, cherche à faire de ce jeune de 21 ans, qui avait été condamné à plusieurs reprises à des peines de prison, un supposé "martyr pour la liberté ", fait observer le journaliste Manuel Vidal qui a recueilli des témoignages dans la ville marocaine de Laâyoune auprès de plusieurs personnes dont des commerçants victimes des actes de cet individu et qui attestent que ce dernier était connu pour être un délinquant qui montrait une attitude agressive.

    Après avoir rappelé que ce jeune a été abandonné par sa mère depuis 2004, le journal canarien indique que Mohamed Lamine "n’avait pas de convictions politiques" et avait été arrêté par la police dix fois depuis le 15 mars 2012 pour trafic et consommation de drogues, ivresse, destruction des biens publics, agression avec arme blanche et violence.

    Dans le même contexte, La Provincia rapporte la position de la tribu Laaroussiyine qui a affirmé que la dénommée Takbar Haddi avait quitté le Maroc en 2004 pour s’installer aux Iles Canaries et que cette mère, qui prétend défendre les droits de son fils, n’a jamais cherché à avoir de ses nouvelles pendant 10 ans, après s'être mariée avec un autre homme dans l'archipel canarien.

    Par ailleurs, la publication révèle que le Polisario a subi dernièrement de sérieux revers suite à la publication par l'Office européen anti-fraude (OLAF) d’un rapport selon lequel l'Algérie et le Polisario procèdent depuis des années au détournement d'une grande partie de l'aide humanitaire internationale destinée aux populations séquestrées dans les camps de Tindouf, ainsi que la non inclusion par le Conseil de sécurité dans sa dernière résolution du principe de la surveillance des droits de l’homme au Sahara.

    Sources : le site politique du Sahara occidental :  

                www.corcas.com

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  • Des experts appellent le HCR à "faire davantage" pour régler l'affaire Mustapha Salma

    Des experts internationaux ont appelé, jeudi, le Haut-commissariat aux réfugiés (HCR) à "faire davantage" pour régler l'affaire du militant Mustapha Salma Ould Sidi Mouloud, empêché par le Polisario de rejoindre sa famille dans les camps de Tindouf.

    "Voilà le cas d'un homme au parcours exceptionnel qui a été poussé à se séparer des siens après qu'il ait embrassé librement un avis favorable à l'autonomie du Sahara", a déclaré Me Pierre Legros, avocat au barreau de Bruxelles. 

    Il s'exprimait au cours d'une conférence-débat sur "les défis aux droits de l'Homme des réfugiés et des migrants", organisée au Palais des Nations à Genève par l'ONG AIDE-Fédération en marge de la 29e session du Conseil des droits de l'Homme. 

    M. Ould Mouloud est devenu réfugié malgré lui "à cause de la manière dont il a été traité par ceux qui dirigent les camps", a dit Me Legros, soulignant que le militant sahraoui "a été impressionné par le projet d'autonomie dans lequel il voit la seule alternative pour mettre fin à l'impasse et au déchirement". 

    M. Stéphane Rodriguez, avocat maitre de conférences à l'Université de Paris, a estimé que "même une agence onusienne spécialisée comme le HCR ne saurait avoir une idée précise sur le nombre de réfugiés à aider" 

    Il a cité les campements de Tindouf parmi "les zones les plus fermées au monde où la liberté de circulation est couramment bafouée et où le Haut-commissariat est confronté au défi d'ajustement des besoins". D'où, a-t-il dit, s'impose un recensement des habitants de cette région désertique du sud-ouest algérien, une mesure qui demeure au centre des résolutions de l'ONU sur la question du Sahara. 

    Au cours de ce débat, la militante sahraouie Aicha Douihi a dénoncé "le silence des institutions internationales concernées quant à la situation juridique des camps de Lahmada", estimant que ce silence est d'autant plus inquiétant que les camps de Tindouf sont parmi les plus anciens au monde. 

    Le cas de Mustapha Salma, a-t-elle noté, renseigne sur le besoin urgent pour la communauté internationale d'agir en faveur des populations des camps pour leur garantir le droit de décider librement de leur sort et de vivre dans la dignité et la sécurité, loin de toute manipulation. 

    Mme Douihi a dans ce contexte attiré l'attention sur le climat de peur, d'intimidation et de stricte surveillance imposé aux familles vivant dans les camps en l'absence d'une véritable protection internationale. 

    Cette conférence-débat, modérée par Mme Amina Laghzal, membre du centre de réflexion stratégique de la défense de la démocratie, s'est déroulée en présence de diplomates et d'acteurs de la société civile marocains et étrangers.

    Sources : le site politique du Sahara occidental :  

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