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Position - Page 56

  • La Fédération mondiale des anciens combattants appelle à un règlement au Sahara sur la base de l'initiative d'autonomie

    La communauté des anciens combattants, qui a pris part à la 28ème Assemblée générale de la Fédération mondiale des anciens combattants (FMAC), réunie du 31 août au 4 septembre à Sopot en Pologne, “est consciente de la légalité de la position marocaine concernant la question des provinces sahariennes”, a affirmé le Haut-Commissaire aux anciens résistants et anciens membres de l’armée de libération, El Mostafa El Ktiri.

    "La communauté des anciens combattants est consciente de la légalité de la position marocaine concernant la question des provinces sahariennes. Elle est, de plus en plus, convaincue que le Maroc est tellement dans ces droits et qu'il s'agit d'un conflit que l'Algérie veut continuer à pérenniser pour des intérêts bassement étroits et inavoués et c'est la raison pour laquelle nous n'avons pas trouvé de difficulté à faire passer le projet de résolution" appelant à un règlement du conflit autour du Sahara marocain sur la base de l'initiative marocaine d'autonomie, a souligné M. El Ktiri dans une déclaration à la MAP.

    Il a expliqué que cette résolution, présentée par la délégation marocaine, a été adoptée "à la majorité des voix pour et quelques abstentions, mais aucune voix contre", n'a été enregistrée.

    Le projet de résolution "a retenu l'attention des délégations présentes et suscité leur intérêt notamment quant à la façon d'aborder le problème du conflit sur les provinces sahariennes récupérées et sur les conditions inhumaines dans lesquelles vivent les sahraouis séquestrés dans les camps de Tindouf", a souligné le Haut-Commissaire aux anciens résistants et anciens membres de l'armée de libération.

    "La délégation algérienne, avec qui nous avons discuté dans le cadre d'un dialogue franc et cordiale mais surtout ferme, a compris l'enjeu de ce projet de résolution et a émis des réserves dès le départ quant à l'opportunité de poser le problème devant l'AG de la FMAC en prétextant qu'il s'agit d'une question qui relève aujourd'hui des Nations Unies et qu'il faut laisser les Nations unies faire leur travail", a-t-il poursuivi.

    Dans sa réponse à cette requête, la délégation marocaine a souligné que "c'est parce que le problème est posé au niveau international et que la partie algérienne n'est pas disposée à ouvrir le dialogue avec le Maroc, ni à ouvrir les frontières non plus, et bien autant le poser et qu'il n'était pas question du tout de revenir sur le projet de résolution", a-t-il observé, relevant que nous étions ferme à ce sujet pour dire que ce n'est pas la première fois que la délégation marocaine propose de telles résolutions puisque qu'en novembre 2012 à Amman, la 27-ème AG de la FMAC "a voté également à la majorité deux projets de résolutions, l'un sur la nécessité de mettre un terme à la situation inhumaine des séquestrés dans les camps de Tindouf, et le second a porté sur le règlement définitif du conflit autour du Sahara".

    L'un des membres de la délégation algérienne a, dans son intervention, parlé de la position classique de l'Algérie en évoquant "le droit des peuples à l'autodétermination" et "du peuple sahraoui", mais "aucune délégation n'a jugé bon de poser une question là-dessus ou de demander un éclaircissement", a souligné le Haut-Commissaire aux anciens résistants et anciens membres de l'armée de libération. "Le projet de résolution est passé haut la main", s'est-il félicité.

    M. El Ktiri a relevé, à ce propos, que "la résolution met l'accent sur le recensement et l'enregistrement des populations dans les camps de Tindouf ", précisant qu'elle évoque la résolution du Conseil de sécurité, adoptée en avril 2015, et rappelle également le dernier appel du SG de l'ONU, Ban Ki-moon sur la même question à savoir l'impératif de procéder au recensement et à l'enregistrement des populations afin de déterminer combien il y a réellement de sahraouis.

    La résolution appelle aussi à "mettre fin à la situation inhumaine des populations sahraouies dans les camps de Tindouf" (Sud-ouest de l'Algérie), a-t-il noté.

    "Nous savons qu'il y a plus de 12.000 sahraouis qui ont regagné la mère-patrie, le Maroc. Il ne reste pas beaucoup dans les camps de Tindouf si ce n'est les mercenaires qui viennent d'un peu partout, des pays voisins", a-t-il ajouté.

    Sources : le site politique du Sahara occidental :  

                www.corcas.com

     Voir aussi : Le portail du Sahara occidental : 

                www.sahara-online.net  

    Le site de la culture hassanie : 

                www.sahara-culture.com    

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                www.sahara-villes.com  

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  • Le mur défensif de sable n'est pas un mur de séparation selon le rapport du SG de l'ONU de 1988

    Grace au mur le Sahara marocain constitue la zone la plus sûre du Grand Sahara et son efficacité  renforcée  par un autre mur sur les frontières avec l'Algérie 

    Les données de la dépêche de l'Agence France Presse (AFP), dans laquelle elle présente le mur défensif de sable au Sahara marocain parmi les principaux murs de séparation dans le monde, sont ''erronées et contraires à la réalité'', a affirmé, lundi dans un communiqué, le ministre de la Communication, porte-parole du Gouvernement.

    ''L'Agence France Presse a publié, le 21 août 2015, une dépêche assortie d'une carte sur ''les principaux murs de séparation dans le monde'', en présentant le mur défensif de sable au Sahara marocain parmi ces murs'', rappelle le communiqué, soulignant que ''les données de la dépêche sont erronées et contraires à la réalité''.

    ''Le mur défensif de sable, tel que décrit par le rapport du Secrétaire général de l'ONU le 20 octobre 1988, n'est pas un mur de séparation. Un point de passage est en effet opérationnel et ouvert aux populations concernées'', a tenu à clarifier la même source.

    ''Le mur défensif de sable a été construit pour garantir le droit du Maroc à la préservation de sa sécurité et pour lutter contre l'utilisation du Sahara comme passage pour les réseaux terroristes, le trafic des êtres humains et le trafic de drogue'', relève-t-on précisant que ''grâce à ce dispositif, le Sahara marocain constitue la zone la plus sûre dans la région du Grand Sahara''.

    Au cours des deux dernières années, ce mur a été renforcé par un autre mur allant de la Méditerranée, sur une longueur de 150 Km longeant les frontières avec l'Algérie au Nord-est du Royaume. ''L'objectif est également de sécuriser les frontières contre les réseaux terroristes, le trafic de drogue, la contrebande, et l'immigration clandestine. Ce mur a lui aussi prouvé son efficacité'', a conclu la même source.

    Sources : le site politique du Sahara occidental :  

                www.corcas.com

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  • L’octroi d’une autonomie au Sahara, la solution "la plus réaliste" pour sortir de l’impasse actuelle (Think-Tank Polonais)

    L’octroi au Sahara d’une autonomie dans le cadre de la souveraineté du Maroc est la solution "la plus réaliste" pour sortir de l’impasse actuelle, souligne le Centre polonais des relations internationales, un Think-Tank basé à Varsovie. 

    Dans un article intitulé "Sahara occidental: Une autonomie avantageuse pour tous", la présidente du Centre, Mme Malgorzata Bonikowska, rappelle que l’ancien envoyé spécial du secrétaire général des Nations-Unies au Sahara, M. Peter Van Walsum est parvenu à la conclusion que l’option de l’indépendance du Sahara est "irréaliste" et ne garantit pas aux sahraouis les conditions d’une vie normale. 

    Les rapports et les évaluations élaborés par l’ONU au cours dernières des années indiquent que l’autonomie constitue la meilleure solution pour la question du Sahara, souligne-t-elle, rappelant, à ce propos, que cette recommandation est inscrite dans le rapport de 2008 élaboré par Peter Van Walsum, envoyé spécial du Secrétaire Général des Nations-Unies de l’époque, M. Kofi Annan. 

    Après avoir souligné que plusieurs pays africains et latino-américains ont retiré leur reconnaissance à la prétendue RASD et que des Etats du continent noir réclament aujourd’hui avec insistance le retour du Maroc à l’Union Africaine, la présidente du Think-Tank polonais, indique que l’autonomie donne plus de chances aux sahraouis après l’instauration du cessez-le-feu en 1991 au terme d’un long conflit armé. 

    Elle met l’accent ensuite sur les gros investissements injectés par le Maroc dans les provinces du Sud, le but étant de garantir aux sahraouis des conditions de vie meilleures avec un développement harmonieux concernant tous les secteurs. 

    En même temps, constate-t-elle, les conditions de vie dans les camps de Tindouf situés en Algérie sont extrêmement difficiles et l’aide financière de l’UE et d’autres organisations est mal-gérée voire même détournée. 

    Mme Malgorzata Bonikowska cite, à ce sujet, les dernières inspections du bureau anti-corruption européenne OLAF contenues dans un rapport publié le 29 avril dernier, au lendemain de la résolution de l’ONU, amenant le Parlement européen à demander une réévaluation de l’aide octroyée aux séquestrés de Tindouf et à organiser un recensement des populations dans les camps. 

    Aucun recensement n’a eu lieu depuis la mise en place de ces camps en Algérie d’où les difficultés pour déterminer le nombre des personnes qui y vivent, observe-t-elle. Pour l’Europe, explique la présidente du Centre, la question fondamentale est d’assurer la sécurité de sa frontière au sud à travers le renforcement de la stabilité dans la région, précisant que le règlement de la question du Sahara ramènerait la paix entre le Maroc et l’Algérie et favoriserait la coopération entre les deux pays face à la menace de déstabilisation qui plane sur l’Afrique du Nord et le Moyen-Orient émanant de l’organisation "état islamique". 

    Après avoir rappelé que le Maroc prône un islam tolèrent et que les mouvements radicaux n’y trouvent pas un terrain fertile, la présidente du Think Tank note la question du Sahara est vitale pour le Royaume, précisant que pour les sahraouis, une large autonomie leur permettrait de se projeter dans l’avenir.

    "Une large autonomie leur apportera également la paix, la stabilité économique et le renforcement des opportunités de développement de leur région ce qui aura des retombées bénéfiques sur leur situation socioprofessionnelle et matérielle", autant d’avantages contenus dans le plan d’autonomie proposé par le Maroc, conclut la Présidente du Centre des relations internationales.

    Sources : le site politique du Sahara occidental :  

                www.corcas.com

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