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Position - Page 32

  • La Tanzanie soutient le retour du Maroc à l’Union Africaine (MAE)

    La Tanzanie "soutient" le retour du Maroc à l’Union Africaine (UA), a affirmé le ministre tanzanien des Affaires étrangères, M. Augustine Mahiga, qui a estimé que son pays et l’Afrique entière bénéficieront du retour du Royaume eu égard à l’expérience et au savoir-faire qu’il a cumulé dans plusieurs domaines essentiels.
    "En tant que membre de l’Union Africaine, nous accueillons favorablement le retour du Maroc à l’UA, et la Tanzanie soutiendra certainement ce retour", a souligné M. Mahiga dans une déclaration à la presse à l’occasion de la visite officielle qu’effectuera SM le Roi Mohammed VI en Tanzanie.
    Il a ainsi fait remarquer que la Tanzanie, au même titre que plusieurs pays africains, coopère déjà conjointement avec le Maroc au sein de nombreux Forums internationaux, aux Nations Unies et dans le cadre du Groupe des 77. De ce fait, le retour du Maroc à l’UA ne sera pas uniquement significatif sur le plan politique mais permettra aussi de renforcer davantage les partenariats existants au sein des différentes instances internationales, comme l’organisation mondiale du commerce (OMC) et les autres institutions similaires, a-t-il dit.
    Le ministre tanzanien des AE a ainsi exprimé le désir de son pays de bénéficier de l’expertise du Maroc dans le domaine de la finance internationale, du commerce et de l’investissement, soulignant qu’il s’agit là de questions importantes non seulement pour la Tanzanie mais pour l’Afrique entière dans le contexte notamment de la réalisation des objectifs de développement du millénaire et de l’Agenda Afrique 2063 où la contribution et l’expérience du Maroc seront vitales.

    Sources : le site politique du Sahara occidental :
    www.corcas.com
    Voir aussi : Le portail du Sahara occidental :
    www.sahara-online.net
    Le site de la culture hassanie :
    www.sahara-culture.com
    Le site des villes du Sahara occidental :
    www.sahara-villes.com
    Le site du développement économique du Sahara occidental:
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    Le site social du Sahara occidental :
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  • Des eurodéputés opposés au silence sur le détournement de l’aide humanitaire par le Polisario et l’Algérie

    Des eurodéputés opposés au silence de la Commission au sujet du détournement de l’aide humanitaire par le Polisario et l’Algérie
    Des eurodéputés se sont élevés contre le silence de la Commission européenne au sujet du détournement de l’aide humanitaire par le Polisario, révélé par le rapport de l’Office européen de lutte antifraude (OLAF), publié en 2015.
    Dans une question adressée à la Commission européenne avec demande de réponse écrite, les eurodéputés Dominique Bilde et Steeve Briois relèvent qu’il y a eu un “détournement systématique” d’une partie de l’aide humanitaire européenne destinée aux populations des camps de Tindouf, “organisé par plusieurs dignitaires sahraouis et certaines autorités algériennes”.
    Les eurodéputés rappellent que lors d’une audition du directeur chargé de l’aide humanitaire de la Commission européenne DG-ECHO en juillet 2015, il mentionnait également que l’Algérie soumettait à une taxe de 5 % les 10 millions d’euros d’aide humanitaire européenne versés annuellement aux camps de Tindouf. D’après une estimation, ajoutent-ils, l’UE aurait ainsi payé au cours des trente dernières années entre 10 et 15 millions d’euros de taxes à l’Algérie.
    Les députés européens regrettent qu’une résolution, qu’ils ont cosignée, avait été déposée en mars 2015 sur ce sujet et est restée sans suite, interrogeant l’exécutif européen s’il a pris des mesures à ce sujet depuis la publication du rapport de l’OLAF.
    Les eurodéputés demandent également si l’aide humanitaire aux camps de Tindouf a-t-elle été suspendue depuis, et si l’Algérie s’est‐elle expliquée sur ce détournement et si des mesures de recensement transparentes des populations ont‐elles été prises ?
    La question du détournement de l’aide humanitaire européenne par le Polisario est un sujet de préoccupation majeure au niveau européen et international.
    Elle est d’ailleurs revenue au devant de la scène tout récemment devant la 4 ème commission des Nations Unies à New York.

    Sources : le site politique du Sahara occidental :
    www.corcas.com
    Voir aussi : Le portail du Sahara occidental :
    www.sahara-online.net
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  • Le maintien de la question du Sahara à la 4ème Commission viole la Charte de l’ONU

    Cette Commission aurait dû se dessaisir de la question du Sahara depuis 1988, avec la prise en charge de ce dossier par le Conseil de Sécurité

    L'Ambassadeur du Maroc auprès des Nations Unies à New York, M. Omar Hilale, est intervenu, lundi, devant la 4ème Commission de l’Assemblée Générale de l’ONU en charge des questions de décolonisation, au terme de son examen de la question du Sahara marocain.
    Il a dénoncé le maintien de cette question à l’ordre du jour de la Commission, parce qu’il viole la charte des Nations Unies et le mandat du Conseil de Sécurité.
    L’Ambassadeur Hilale a rappelé que l’acte fondateur de l’ONU, en l’occurrence la Charte des Nations Unies, devrait interpeller la 4ème Commission partant du fait que l’alinéa 1 de son article 12 stipule avec force, que "tant que le Conseil de Sécurité remplit, à l'égard d'un différend ou d'une situation quelconque, les fonctions qui lui sont attribuées par la présente Charte, l'Assemblée Générale ne doit faire aucune recommandation sur ce différend ou cette situation, à moins que le Conseil de sécurité ne le lui demande".
    En vertu de cet article 12, a-t-il précisé, cette Commission aurait dû se dessaisir de la question du Sahara depuis 1988, date de la prise en charge de ce dossier par le Conseil de Sécurité. Ce qui n’a pas été le cas, malheureusement, de la question du Sahara marocain qui continue, en violation de cet article, à être examinée tant par le Conseil de Sécurité que par la 4ème Commission.
    Ajoutant que c’est la seule question à être débattue à la fois par la 4ème Commission et le Conseil de Sécurité. C’est la raison pour laquelle le Maroc appelle, plus que jamais, l’Assemblée Générale au respect de la Charte des Nations Unies et des attributions et responsabilités du Conseil de Sécurité, car il y va de la crédibilité et de la capacité de notre Organisation à régler définitivement ce différend régional, a-t-il souligné.
    Le diplomate marocain a rappelé que le Conseil de Sécurité s’est saisi du dossier du Sahara, non en tant qu’une soi-disant question de décolonisation, mais en tant que différend sous le Chapitre VI de la Charte des Nations Unies, relatif au règlement pacifique des différends.
    C’est pourquoi, aucune des 63 résolutions du Conseil de Sécurité n’a qualifié la question du Sahara ni de décolonisation, ni de territoire occupé ni qu’aucun des 82 rapports du Secrétaire Général sur la question du Sahara n’ont à aucun moment présenté la question du Sahara à travers la perspective de décolonisation ou d’occupation, a-t-il relevé.
    Ajoutant que la qualification par le Royaume du Maroc et le Conseil de Sécurité de la question du Sahara marocain de différend régional n’émane pas du néant, mais d’un référentiel juridico-politique consacré et d’un fondement historique reconnu.
    Poursuivant sa démonstration, l’Ambassadeur Hilale a réitéré le fait historique indéniable que le Maroc a irréversiblement récupéré ses Provinces Sahariennes du Sud par le biais de la négociation et de la signature de l’Accord de Madrid, en 1975, avec l’Espagne et ce, conformément à la Charte de l’ONU et aux résolutions de l’Assemblée Générale.
    Précisant que cet Accord a été déposé auprès du Secrétaire Général des Nations Unies le 18 novembre 1975, et reconnu par la résolution 3458 B de l’Assemblée Générale, le 10 décembre 1975.
    Suite à la décolonisation du Sahara marocain et son retour légitime et légal à la Mère Patrie, le Maroc, la question du Sahara était censée être retirée de l’ordre du jour des Nations Unies, car c’est le Maroc qui l’y avait introduite, a-t-il souligné.
    Ajoutant que c’était malheureusement sans compter avec l’hostilité contre mon pays, de l’Algérie, dont les visées hégémoniques sur la région d’Afrique du Nord et la vision figée dans l’ère de la guerre froide continuent à ce jour, au mépris de l’histoire commune et des exigences de bon voisinage.
    Le diplomate marocain a indiqué que l’Algérie s’acharne contre l’intégrité territoriale du Maroc, en instrumentalisant le principe de l’autodétermination, alors que dans la doctrine et la pratique onusiennes, le droit à l’autodétermination n’a jamais été synonyme ni de séparatisme, ni de sécessionnisme, et encore moins de partition des Etats.
    Si c’était le cas, il y aurait maintenant plus de 300 Etats membres des Nations Unies et beaucoup plus d’Etats à la frontière Est du Maroc, a-t-il argumenté.
    Ajoutant que la fameuse résolution 1514 sur l’autodétermination stipule dans son paragraphe 6 que “toute tentative visant à détruire partiellement ou totalement l'unité nationale et l'intégrité territoriale d'un pays est incompatible avec les buts et les principes de la Charte des Nations Unies”.
    D’où l’importance de préserver tant l’esprit que la lettre de ce principe qui s’applique au demeurant à tous les peuples, nonobstant leur statut politique, a-t-il conclu.

    Sources : le site politique du Sahara occidental :
    www.corcas.com
    Voir aussi : Le portail du Sahara occidental :
    www.sahara-online.net
    Le site de la culture hassanie :
    www.sahara-culture.com
    Le site des villes du Sahara occidental :
    www.sahara-villes.com
    Le site du développement économique du Sahara occidental:
    www.sahara-developpement.com
    Le site social du Sahara occidental :
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