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Position - Page 15

  • La proposition marocaine d’autonomie au Sahara est réaliste, viable et hautement créative (analyste politique chilien)

    La proposition marocaine d’autonomie, largement soutenue par la Chambre des députés au Chili, est « une proposition réaliste, viable et hautement créative », a affirmé l’analyste politique chilien Juan Carlos Moraga.
    Dans une déclaration à la MAP, M. Moraga, également président du Centre d’Études du Maghreb pour les Amériques, a indiqué que « cette proposition réaliste, viable et hautement créative, peut être reprise et appliquer dans différentes régions du monde ».
    Pour cet expert chilien en relations internationales, la proposition marocaine d’autonomie peut résoudre le conflit artificiel autour du Sahara marocain.
    L’adoption par la Chambre des députés du Chili, par une écrasante majorité, d’une résolution de soutien à l’initiative marocaine d’autonomie, valorise également les importantes avancées du Maroc en matière de respect des droits humains, a souligné ce professeur universitaire, réaffirmant que cette initiative marocaine est « une grande solution pour un problème complexe » qui n’a que trop duré.
    Cette résolution, votée mercredi à une écrasante majorité à la Chambre des députés à Valparaiso, est synonyme d’un soutien des députés et de la République du Chili, à la proposition marocaine d’autonomie au Sahara, laquelle a été qualifiée d »‘initiative sérieuse et crédible » par les Nations Unies et l’ensemble de la communauté internationale. Dans cette résolution, votée par 66 voix pour, les députés chiliens ont salué la prééminence de l’initiative d’autonomie du Sahara présentée par le Maroc en 2007 en vue de mettre fin à un différend régional qui n’a que trop duré.
    A cet égard, les députés chiliens ont salué en l’initiative marocaine un « effort sérieux et crédible, qui permettra sans aucun doute aux populations du Sahara d’exercer leur droit à l’autodétermination, en gérant démocratiquement leurs propres affaires par l’intermédiaire d’organes législatifs, exécutifs et judiciaires, qui jouissent de pouvoirs exclusifs sous la souveraineté du Maroc ».
    En vertu de cette résolution, la Chambre des députés demande au gouvernement chilien, en sa qualité de membre des Nations Unies, de soutenir et de s’engager de manière permanente en faveur de la résolution n° 1754 du Conseil de Sécurité, adoptée le 30 avril 2007.

    Sources : le site politique du Sahara occidental :
    www.corcas.com
    Voir aussi : Le portail du Sahara occidental :
    www.sahara-online.net
    Le site de la culture hassanie :
    www.sahara-culture.com
    Le site des villes du Sahara occidental :
    www.sahara-villes.com
    Le site du développement économique du Sahara occidental:
    www.sahara-developpement.com
    Le site social du Sahara occidental :
    www.sahara-social.com

  • Médiapart analyse la notion de "Territoires non autonomes", qualifié d’abusive et illogique

    Le concept est un "artifice idéologique" converti en " véritable arme de combat au sein de l’ONU"

    4iemecommission.jpgL’inclusion du "Sahara occidental" dans la liste des "Territoires non autonomes" est une aberration, c’est la conclusion d’un important article d’analyse publié par le site d’information français Médiapart, le 24 novembre courant et qui s’intitule "Les tribulations de la «Liste des Territoires non autonomes» ".

    Analysant cette appellation, l’auteur de cet article rappelle que la région du Sahara est un territoire "habité par des populations qu’aucune différence majeure ne sépare du Maroc historique, que ce soit par la langue, la religion, les allégeances traditionnelles, les identités politiques (tribus Berbérophones et Arabophones réparties des divers côtés des frontières coloniales), etc".

    Il considère que "le Sahara Occidental est le seul cas inclus dans les TNA (en-dehors de l’Europe) où on ne trouve pas des « colonisateurs Blancs Européens » dominant des populations non-Européennes : son inclusion est donc une aberration. Ce qui ne l'empêche pas de continuer à être utilisée dans les disputes diplomatiques et politiques internationales".

    L’article qui traite avec une grande pertinence de ce dossier des territoires non autonomes analyse aussi bien du point de vue du droit que de celui de la logique la situation et constate que cette notion « territoires non-autonomes » (TNA), qui est une construction de l’ONU est tout simplement un artifice idéologique.

    L’auteur constate que cette conception est à la fois illogique et arbitraire, mais qui produit sur le terrain des "effets tangibles" et influence de manière forte les prises de position diplomatiques tout en influençant la politique internationale en devant une véritable arme de combat dans l’arène onusien.

    La classification TNA est hétérogène et "un abîme de confusion et cela depuis l’origine", indique l’auteur de l’article de Médiapart qui évoque l’évolution historique de cette classification, en citant les spécialistes, notamment Henri Grimal qui rappelle que l’on a confié au ‘Comité des facteurs’ la tâche de déterminer les éléments qui pourraient entrer en ligne de compte pour décider quand un territoire est ou n’est pas « un pays dont la population n’a pas encore pleinement atteint le self gouvernement ».

    Ce fameux Comité se heurta aux mêmes difficultés que l’assemblée» pour produire la définition de « territoire non autonome » (Grimal 1985 :147).

    Il ne pouvait en être autrement, et la suite le confirma : la définition a priori et par conséquent l’inclusion ou non d’un territoire concret dans cette catégorie n’ont de fondement que politique, c’est-à-dire : en termes de volonté (action fondée sur un intérêt) et de puissance – les rapports de forces entre les tenants des diverses tentatives de définition. D'où il suivra, ou non, l’intégration d'un territoire concret dans la « liste » élaborée par les instances onusiennes.

    C’est donc une simple construction politicienne dont le sens très élastique n’a de sens que celui que lui donnent les acteurs politiques au sein de l’ONU, en l’occurrence les puissances étatiques.

    Deux critères fondent l’absurdité de cette construction : elle n’est pas homogène, car elle ne comprend pas uniquement des cas de même nature et elle ne suit pas du tout un critère uniforme, et elle n’est pas exhaustive car elle ne comprend pas tous les cas qui correspondent à sa définition de départ.

    D’où le constat final que fait l’auteur de l’article : " elle est un instrument idéologique utile dans les stratégies à géométrie variable de certains pays, non une classification obéissant à la logique, d’un côté, et correspondant à des réalités empiriques saisissables, de l’autre."

    Sources : le site politique du Sahara occidental :
    www.corcas.com
    Voir aussi : Le portail du Sahara occidental :
    www.sahara-online.net
    Le site de la culture hassanie :
    www.sahara-culture.com
    Le site des villes du Sahara occidental :
    www.sahara-villes.com
    Le site du développement économique du Sahara occidental:
    www.sahara-developpement.com
    Le site social du Sahara occidental :
    www.sahara-social.com

  • La légitimité de la souveraineté du Maroc sur son Sahara «ne fait pas l’ombre d’un doute» (Magazine français)

    Carte du Maroc avec drapeaux.jpgLes réseaux du régime algérien mènent une véritable guerre de l’information, notamment en Europe sur la zone du Sahara
    La légitimité de la souveraineté du Maroc sur son Sahara «ne fait pas l’ombre d’un doute», écrit le magazine français «L’incorrect» en soulignant le rôle de l’Algérie dans la persistance du conflit artificiel créé autour du Sahara marocain et les procédés «pernicieux» auxquels ont recours ses réseaux pour entretenir la propagande sur cette question.
    Dans un article consacré aux «manœuvres obscures» menées par l’Algérie sur la question du Sahara, la publication, qui revient sur des faits historiques irrévocables établissant qu’aucune souveraineté autre que celle du Maroc n’a jamais eu place sur l’ensemble de l’actuel sud-marocain, note que si le conflit persiste, c’est à cause d’une minorité active maitrisant l’art de l’agitation-propagande.
    «Désinformation, propagande, provocations, campagnes ciblées d’intoxication, les réseaux du régime algérien mènent une véritable guerre de l’information, notamment en Europe au sujet de la zone du Sahara», relève le magazine sur son site internet en observant que la diplomatie algérienne dans l’Union européenne (UE) est essentiellement axée sur cette question, alors que l’UE se trouverait plutôt pro-marocaine dans ce conflit.
    Devant un manque de leviers, c’est auprès de l’opinion qu’a décidé d’agir le régime algérien, fait remarquer «L’incorrect» en soulignant que «tandis que le Maroc choisit la voie légale et cherche à pacifier la zone, on sait aujourd’hui que les réseaux algériens et le Polisario proposent des rémunérations à quiconque créerait une association anti-marocaine, dénonçant des exactions inventées ou commises parfois par le Polisario lui-même».
    La publication évoque également, sous la plume de yves Leroy, un «procédé plus pernicieux aussi très en vogue» consistant, par exemple, pour les réseaux algériens à «cartographier» les acteurs de la vie politique et universitaire européenne, notamment française, pour s’en approcher et s’en servir comme vecteurs de propagande.
    Les réseaux algériens se servent de la puissance politique, médiatique et intellectuelle de certaines institutions, comme le Parlement européen ou l’Université de la Sorbonne dernièrement, comme relais de leurs thèses afin de donner un caractère officiel et une aura de légitimité à leur politique agressive, souligne-t-elle notamment.
    «L’incorrect» observe, par ailleurs, qu’à l’heure où des bandes terroristes islamistes comme AQMI, Al Mourabitoune ou l’Etat islamique prospèrent dans les régions sahariennes en Tunisie, Algérie et Libye notamment, ainsi qu’au Sahel, le danger concerne tous les pays de la région, mais aussi les États européens.
    Il est à craindre que le Polisario ne puisse s’allier avec des groupes politico-religieux terroristes dans une logique de radicalisation marginale, ajoute la publication.
    En effet, poursuit-elle, poussés au jusqu’au-boutisme par leurs patrons algériens, les activistes du «polisario» s’enferment dans un processus de marginalisation qui les mène au pire : trafics (notamment migratoire), criminalité, terrorisme.
    Face à ces dangers, la présence marocaine reste un facteur de paix et de sécurité, mais aussi d’échanges entre deux parties de l’Afrique, le Sahara étant un trait d’union entre l’Afrique du nord et l’Afrique noire, souligne la même source.
    Régler le conflit sur le Sahara marocain assurerait la stabilité essentielle à cette zone, le Maroc bénéficiant d’un puissant consensus intérieur et extérieur, insiste le magazine.

    Sources : le site politique du Sahara occidental :
    www.corcas.com
    Voir aussi : Le portail du Sahara occidental :
    www.sahara-online.net
    Le site de la culture hassanie :
    www.sahara-culture.com
    Le site des villes du Sahara occidental :
    www.sahara-villes.com
    Le site du développement économique du Sahara occidental:
    www.sahara-developpement.com
    Le site social du Sahara occidental :
    www.sahara-social.com

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