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  • Le Polisario une nouvelle fois débouté par la justice européenne

    Après les deux décisions de la Cour de justice de l’Union européenne (CJUE) de 2015 et de 2016 sur l’accord d’association et l’accord agricole Maroc-UE, qui ont été toutes les deux en sa défaveur, voici venue celle de juillet 2018 dans laquelle le tribunal luxembourgeois a opposé une fin de non recevoir au recours du Polisario en annulation de l’accord de pêche conclu en 2013 et qui vient d’expirer.

    Menant depuis quelques années une guérilla judiciaire contre les accords commerciaux du Maroc avec l’Union européenne, grâce à la générosité de l’Algérie qui offre le gîte et le couvert aux avocats, aux lobbyistes et aux rabatteurs qui s’agitent dans les couloirs du Parlement européen, les séparatistes se sont, une nouvelle fois, heurtés à la sagesse et à la fermeté des magistrats de la 5ème chambre du tribunal de l’UE qui ont rejeté ce recours en annulation introduit en 2014.

    Dans son ordonnance, le tribunal, qui estime que le front Polisario « n’est pas directement ni individuellement concerné » par l’accord de pêche et «ne peut, en tout état de cause, pas être regardé, compte tenu des arguments qu’il invoque, comme ayant qualité pour agir», a déclaré le recours en annulation comme « irrecevable dans son intégralité», ordonnant que le Polisario supporte, “outre ses propres dépens, ceux exposés par le Conseil de l’Union européenne”.

    Si ce verdit vient infliger un nouveau revers cinglant au Polisario et à ses soutiens, il rappelle toutefois une triste réalité dont l’opinion publique algérienne ne tardera pas à prendre conscience et qui consiste à financer sur ses propres deniers un groupe de séparatistes aux seules fins de nuire au Maroc.

    S’ils sont déjà à l’origine d’une guerre larvée au sein de la direction même des séparatistes et d’une révolte latente des jeunes sahraouis qui ne croient plus aux rêves et mensonges qui leurs sont tressés depuis leur enfance, les échecs à répétition du Polisario tantôt sur le plan judiciaire, tantôt sur le plan diplomatique, doivent éveiller la conscience des Algériens en lutte pour un renouveau politique dans leur pays.

    La communauté internationale, quant à elle, est appelée à assumer ses responsabilités pour mettre un terme à l’atermoiement coupable d’Alger d’œuvrer positivement à une solution définitive au conflit qu’elle a créée de toutes pièces autour du Sahara marocain, sur la base de la proposition marocaine d’autonomie seule à même de permettre l’intégration du Maghreb, de garantir la prospérité de ses peuples et d’abréger les souffrances des populations sahraouies marocaines séquestrées dans les camps de la honte à Tindouf, en territoire algérien.

    Sources : le site politique du Sahara occidental :
    www.corcas.com
    Voir aussi : Le portail du Sahara occidental :
    www.sahara-online.net
    Le site de la culture hassanie :
    www.sahara-culture.com
    Le site des villes du Sahara occidental :
    www.sahara-villes.com
    Le site du développement économique du Sahara occidental:
    www.sahara-developpement.com
    Le site social du Sahara occidental :
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  • L’ONU rejette la demande d’accréditation d’une ONG pro-Polisario

    Le Conseil Economique et Social des Nations-Unies a rejeté, ce mardi, à l’unanimité, la demande d’accréditation de l’ONG pro-Polisario “bureau international pour le respect des droits de l’homme au Sahara occidental”, endossant, ainsi, la recommandation du Comité des ONG de l’ONU de retirer cette demande d’accréditation.

    En effet, cette pseudo-organisation avait présenté, en 2010, une demande d’accréditation au Comité des ONG de l’ONU, relevant du Conseil Economique et Social, pour lui permettre de participer aux réunions des différents organes onusiens.

    Le Maroc avait immédiatement réagi pour dévoiler aux membres du Comité les réels objectifs de cette pseudo-organisation, qui n’a aucun attribut d’une organisation des droits de l’Homme et que, bien au contraire, il s’agit d’un organisme politique, qui s’active exclusivement contre l’intégrité territoriale du Maroc et sert exclusivement les intérêts du Polisario.

    Les Membres du Comité ont, dès lors, interrogé, pendant huit années, cette pseudo-organisation sur plusieurs aspects de ses activités. N’ayant pas eu de réponses satisfaisantes à leurs questions, les membres du Comité n’ont eu d’autre choix que de recommander au Conseil Economique et Social de retirer cette demande.

    Cette décision, émanant d’un Organe principal des Nations-Unies, représente un coup dur pour le Polisario et ses sympathisants, qui tentent, par tous les moyens, d’instrumentaliser le volet des droits de l’Homme pour porter atteinte au Maroc et à son intégrité territoriale. Bien plus, elle reflète la prise de conscience de la communauté internationale en général, et des Nations-Unies en particulier, des manœuvres maladroites du Polisario et de ses sympathisants, qui ne dupent plus personnes.

    Sources : le site politique du Sahara occidental :
    www.corcas.com
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    www.sahara-online.net
    Le site de la culture hassanie :
    www.sahara-culture.com
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  • Le paraphe de l’accord de pêche Maroc-UE consacre un processus de négociations empreintes de consensus

    L’accord répond aux manœuvres contre l’inclusion du Sahara marocain, par le Maroc ne peut, ratifier un accord qui ne couvre pas tout son territoire

    Le paraphe de l’accord de pêche entre le Maroc et l’Union européenne (UE) consacre un processus de sept rounds de négociations qui se sont déroulées dans des conditions normales, empreintes de consensus entre les deux parties, a indiqué, mardi à Rabat, le ministre des Affaires étrangères et de la Coopération internationale, Nasser Bourita.

    Dans une déclaration à la presse à l’issue de la cérémonie de paraphe de cet accord, en présence du ministre de l’Agriculture, de la Pêche Maritime, du Développement rural et des Eaux et forêts, Aziz Akhannouch, M. Bourita a souligné que “le paraphe de l’accord de pêche Maroc-UE est le couronnement d’un processus de négociations, qui ont duré environ trois mois et qui se sont déroulées en sept rounds à Bruxelles et à Rabat, dans des conditions normales, empreintes de consensus entre le Maroc et l’UE”.

    M. Bourita a ajouté que ce paraphe concrétise la réalisation de trois objectifs, dont le premier vise à renforcer le partenariat entre le Maroc et l’UE dans le domaine de la pêche maritime, un partenariat qui remonte à plus de 30 ans et qui repose sur plusieurs accords, conclus auparavant.

    Le deuxième objectif, a-t-il expliqué, “est de répondre aux manœuvres et aux tentatives visant à perturber ce partenariat ainsi qu’aux interrogations qui remettent en cause l’inclusion dans cet accord du Sahara marocain”, notant que “la réponse est claire, étant donné que l’article 1 de cet accord stipule que la zone de pêche s’étend du parallèle 35 jusqu’au parallèle 22, à savoir du Cap Spartel dans le nord du Maroc jusqu’au Cap Blanc dans le sud”.
    Cet article prévoit également que la zone de pêche comprend les eaux de la région du Sahara, a poursuivi le ministre, soulignant que “le Maroc ne peut, en aucun cas, ratifier un accord qui ne couvre pas toutes les parties de son territoire”.

    Le troisième objectif de cet accord, a affirmé M. Bourita, est de renforcer le secteur de la pêche maritime, notamment dans les zones sud et les zones concernées par ledit accord, à travers la création d’emplois, le soutien du secteur au niveau local et la contribution au développement socio-économique.

    Cet accord vise aussi à garantir la durabilité des produits halieutiques dans la région, à travers un nombre de mécanismes permettant de lutter contre la surexploitation des ressources halieutiques dans cette zone, a-t-il dit.
    M. Bourita a souligné qu’après le paraphe de l’accord de pêche Maroc-UE, “le processus demeure long”, précisant que l’accord doit être ensuite soumis à la procédure législative aussi bien au niveau marocain qu’européen, ce qui “nécessite la même mobilisation et la même action, avec le même esprit de consensus et la même démarche positive”, ayant caractérisé les négociations.

    Le ministre a indiqué que “cette mobilisation, qui était diplomatique jusqu’à maintenant, doit être également politique”, appelant les acteurs politiques à accompagner les prochaines étapes.

    Le nouvel accord précise entre autres les zones de pêche et les conditions d’accès pour la flotte européenne, à travers la définition précise de zones de pêche et de zones de gestions selon les catégories de flottes et d’espèces cibles.

    Ainsi, selon les modalités prévues dans cet accord nouvelle génération, le niveau des débarquements obligatoires et les catégories de pêche restent inchangées par rapport à l’ancien protocole avec un nombre de navires atteignant les 128.

    Cet accord permettra par ailleurs une augmentation de la contrepartie financière, qui passera d’une moyenne annuelle de 40,0 M€ à 52,2 M€ (+30%).

    Sources : le site politique du Sahara occidental :
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