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  • La France appuie les efforts du Maroc pour une solution politique à la question du Sahara (sénateur français)

    La France appuie les efforts déployés par le Maroc visant à parvenir à une solution politique de la question du Sahara, a affirmé, lundi soir, le Président du groupe d'amitié parlementaire entre le Sénat (France) et la chambre des Conseillers, M. Christian Cambon, à son arrivée à l'aéroport de Rabat-Salé pour une visite de travail dans le Royaume.

    "Ces efforts requièrent que le dialogue soit la vertu cardinale, car il ne faut pas oublier que des milliers d'hommes, de femmes et d'enfants souffrent tant que ce différend n'est pas résolu", a indiqué M. Cambon dans une déclaration à la MAP.

    Evoquant l'objectif de cette visite, M. Cambon, qui conduit une délégation de sénateurs français, a indiqué qu'elle permettra à la délégation française de "prendre la mesure des choses" sur le terrain en allant à la rencontre des responsables locaux.

    "C'est aussi un voyage d'information sur la thématique de l'eau qui intéresse une partie importante de la délégation, notamment dans le cadre de la coopération décentralisée", a-t-il poursuivi.

    La visite vise également, a-t-il ajouté, à renforcer les liens "traditionnels" qui existent entre l'Assemblée nationale française et le parlement marocain.

    Pour sa part, le président du groupe d'Amitié parlementaire entre la Chambre des Conseillers et le Sénat de France, M. Abderrahim Atmoun, a assuré que cette visite sera une occasion pour présenter à la délégation française les grands chantiers lancés au Maroc, pays résolument engagé dans la modernité tout en préservant son authenticité.

    Les sénateurs français mettront à profit ce déplacement pour s'informer également sur la problématique de l'eau, particulièrement au Sahara, où ils devront visiter plusieurs projets d'infrastructures liés à la protection et la valorisation des ressources hydriques dans les provinces de Laâyoune et de Dakhla.

    Outre M. Cambon, la délégation française est composée des sénateurs Jean Pierre Chauveau, Alain Gournac, Jackie Pierre, Claude Jeannerot, Bariza Khiari, Jean-Pierre Plancade et Catherine Morin Desailly.

    Ils appartiennent aux groupes parlementaires de l'Union pour un Mouvement Populaire (UMP-au pouvoir), du Parti Socialiste (PS-opposition de gauche) de l'Union Centriste (UC) et du Rassemblement Démocratique et Social Européen (RDSE-libéral).

    Sources : le site politique du Sahara occidental : 
                www.corcas.com
     Voir aussi : Le portail du Sahara occidental :
                www.sahara-online.net 
    Le site de la culture hassanie :
                www.sahara-culture.com   
    Le site des villes du Sahara occidental : 
                www.sahara-villes.com 
    Le site du développement économique du Sahara occidental: 
                                  www.sahara-developpement.com  
    Le site social du Sahara occidental :
                                  www.sahara-social.com

  • Un ancien responsable du Polisario regagne le Maroc

    M. Ahmed Ould Sidi Ahmed Ould Salak Ould Akmach, ancien responsable du Polisario, a regagné récemment la mère patrie en réponse à l'appel royal: "la patrie est clémente et miséricordieuse".

    Dans une déclaration à la MAP, M. Ould Akmach a exprimé sa fidélité et son loyalisme à SM le Roi Mohammed VI, et fait acte d'allégeance au Souverain, un acte "hérité de mes ancêtres, les Chorafas Laaroussyines".

    Il a souligné, à cette occasion, que "la bonne initiative louable de SM le Roi, à savoir la proposition d'autonomie des provinces du sud constitue la meilleure solution à la question du Sahara dans le cadre de ni vainqueur ni vaincu, dans la mesure où cette solution est soutenue par la majorité des Sahraouis des camps de Tindouf et qui ne peuvent exprimer leur choix solennellement à cause de l'oppression et de l'inexistence de liberté d'expression entretenus par le Polisario et l'Algérie".

    Cet ancien responsable du Polisario a affirmé "qu'il est du droit des Sahraouis, où qu'ils se trouvent, de jouir enfin de la paix, de la sécurité et de pouvoir retourner en toute quiétude chez eux au Sahara marocain".

    M. Ould Akmach, originaire de la tribu des Laaroussyines Oulad Lakhlifia Oulad Sidi Eddakak, a appelé les Nations Unies dans toutes leurs composantes (conseil de sécurité, assemblée générale, 4ème commission, comité des droits de l'homme, conseil des droits de l'homme) à "œuvrer à lever le siège imposé à nos familles dans les camps de Tindouf et leur permettre d'exprimer en toute liberté leurs opinions loin de la répression et de l'oppression exercées par les dirigeants du Polisario et de l'Algérie".

    "Le Polisario et l'Algérie induisent en erreur, depuis des années, la communauté internationale et toutes les organisations humanitaires sur le nombre des réfugiés dans les camps de Tindouf qui ne dépasse guère les 45.000 âmes", a souligné M. Ould Akmach, notant que "l'Algérie et le Polisario, parfaitement au fait de ce chiffre et qui présentent à l'ONU des données exagérées (160.000), sont conscients qu'une fois le HCR aura effectué un recensement exact des populations des camps de Tindouf, la duperie sera dévoilée au grand jour".

    M. Ould Akmach a, à cet égard, appelé les Nations Unies à faire pression sur l'Algérie afin de permettre au HCR d'effectuer dans les plus brefs délais un recensement des populations dans les camps.

    Et de souligner que "le nombre impressionnant de ralliés qui a atteint depuis le début de l'année environ 2000 personnes dont la majorité est constituée de jeunes et de personnalités influentes, est en soi l'expression éloquente de la crédibilité de la position marocaine".

    Natif de Tichla en 1954, au sud de Dakhla, Ould Akmach a poursuivi ses études primaires en langues arabe et espagnole de 1960 à 1967 à l'école Alaargoub (est de la ville).

    Après des études dans le cycle qualificatif des infirmiers (1970-1973), il a intégré l'établissement espagnol des Postes et Télécommunications établi à l'époque à Dakhla jusqu'au mois de décembre 1975 avant de rejoindre, ensuite, les rangs du front Polisario à Tindouf, dans le sud de l'Algérie, où il a été nommé à l'aile armée du front en tant qu'infirmier itinérant à travers les différentes zones militaires.

    En 1991, après la proclamation du cessez-le-feu par les Nations Unies, Ould Akmach a été nommé directeur du centre de santé dans le camp dénommé "Wilaya Dakhla" situé à 160 km au sud de la ville de Tindouf, où il était, à l'époque, responsable des soins médicaux des prisonniers de guerre.

    Avec le lancement du processus d'identification pour arrêter les listes des sahraouis habilités à participer au référendum prévu à l'époque, il a été désigné par l'ONU, par le biais de la Minurso, Cheikh d'identification pour la tribu Laaroussyine : Fraction Oulad Lakhlifia et sous-fraction Oulad Sidi Eddakak. En cette qualité, il avait participé à l'opération d'identification dans les villes de Dakhla, Boujdour, Laayoune, Guelmim, Marrakech et Casablanca, ainsi qu'à Nouadhibou en Mauritanie, et ce en parallèle avec sa mission de Cheikh d'identification dans les camps de Tindouf.

    En 2008 et à l'issue du 12ème congrès du front Polisario (14-20 décembre 2007), il a été élu membre du soi-disant "conseil national sahraoui" (parlement) et membre du bureau permanent du prétendu "conseil consultatif sahraoui" (Instance des Chioukh), où il est demeuré jusqu'à son retour à la mère patrie, le Royaume du Maroc, en réponse à l'appel royal "la patrie est clémente et miséricordieuse".

    Sources : le site politique du Sahara occidental : 
                www.corcas.com
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  • M. Mostafa Ould Salma confirme l'existence d'une décision l'interdisant de rejoindre sa famille dans les camps de Tindouf

    M. Mostafa Ould Salma, inspecteur général de la "police du Polisario", a confirmé, depuis la ville mauritanienne de Zouirate sur sa route vers les camps de Tindouf, l'existence d'une décision l'interdisant de rejoindre sa famille dans ces camps.

    "On m'a averti de l'intérieur Tindouf que j'étais interdit d'accès aux camps et que j'allais être arrêté au cas où j'y mettrai les pieds", a-t-il affirmé dans une déclaration téléphonique à la chaîne régionale de Laâyoune, diffusée dimanche dans son journal du soir.

    "La situation est devenue très périlleuse", a-t-il dit ajoutant: "Ma sécurité personnelle ne dépend plus de moi tout seul, désormais c'est la responsabilité du monde entier".

    "Je ne demande pas l'impossible. Il s'agit d'un droit naturel qu'a tout être humain, celui qu'a un père d'être en contact avec ses enfants", a-t-il poursuivi.

    "Cette décision prise par certains s'autoproclamant porte-paroles des sahraouis donne la preuve que la population des camps est prisonnière et interdite d'expression" a-t-il souligné, ajoutant que ceux qui ont pris cette décision "travaillent au service d'agendas qui ne concernent pas les sahraouis en premier lieu".

    "Toute personne a le droit d'exprimer son opinion sans porter atteinte à celles des autres" a-t-il ajouté, exhortant la communauté internationale et les organisations internationales des droits de l'Homme à être de son côté, garantir sa protection en ces moments difficiles et à le soutenir pour exprimer ses opinions et rejoindre les siens dans les camps.

    Le 9 août dernier, lors d'une conférence de presse à Smara, M. Ould Salma, qui a quitté cette ville il y'a quelque jours en direction des camps de Tindouf, avait exprimé sa volonté de défendre le projet d'autonomie pour mettre terme à ce différend artificiel et délivrer les sahraouis du calvaire qu'ils subissent dans les camps.

    Source : MAP
     - Actualité concernant la question du Sahara occidental/Corcas -

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                www.corcas.com
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