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le blog du Saharaoccidental - Page 136

  • La Déclaration de Bogota salue l’initiative d’autonomie au Sahara et le retour du Royaume à l’UA

    Le retour du Maroc au sein de l’UA, “une garantie de paix, de progrès et de bonne entente entre les pays des Continent africain“

    Les signataires de la Déclaration de Bogota ont salué l’initiative de paix et de régionalisation proposée par le Royaume du Maroc dans ses Provinces du Sud et le retour du Rabat au sein de l’Union africaine (UA).

    Plusieurs représentants de centrales syndicales, académiciens, artistes de l’Amérique latine et des Caraïbes ont adopté la “Déclaration de Bogota” en marge de la participation du Centre Chilien des Etudes du Maghreb (CCEM), en tant qu’invité, au Congrès constitutif de l’Alternative Démocratique Syndicale des Amériques (ADS), tenu du 17 au 20 avril dans la capitale colombienne.

    Les signataires de ce document ont déclaré “appuyer l’initiative de régionalisation avancée proposée par le Royaume du Maroc pour trouver une solution à un conflit qui affecte l’intégration des pays du Maghreb”.

    Ils ont de même salué à l’instar de la majorité des pays africains, le retour du Maroc au sein de l’UA, “une garantie de paix, de progrès et de bonne entente entre les pays des Continent africain”, selon la Déclaration de Bogota.

    Les signataires ont plaidé, à l’initiative du CCEM, pour la création d’un Centre d’Etudes du Maghreb pour les Amériques, dont l’objectif est d’étudier et de faire connaître la réalité des pays de l’Afrique du nord, avec une perspective positive, généralisée et sans exclusion aucune, avec tolérance et esprit académique, à la recherche d’un soutien à la paix, la culture et au dialogue.

    Suite à cette proposition et avec un soutien clair de plusieurs organisations et de personnalités en provenance de pays des Amériques, le Centre Chilien des Etudes du Maghreb décide de se transformer en Centre d’Etudes du Maghreb pour les Amériques, relève la Déclaration.

    Les membres du directoire du Centre, organe de réflexion chilien qui agit en faveur de la paix et contre le terrorisme ainsi que toute autre forme de séparatisme, ont côtoyé plus de 500 congressistes représentant 27 délégations syndicales d’Amérique Latine, venues de 15 pays différents, notamment du Chili, du Brésil, du Mexique et du Venezuela.

    L’ADS est une nouvelle structure syndicale regroupant des confédérations syndicales de 15 pays latino-américains représentant plus de 25 millions de travailleurs, dont la principale caractéristique est l’autonomie et le refus de toute tutelle étatique.

    Le Congrès constitutif de l’ADS, qui a également vu la participation d’une délégation marocaine de la Chambre des Conseillers, a été officiellement soutenu par la Confédération Générale des Travailleurs de Colombie (syndicat organisateur de l’événement et l’une des principales centrales du pays), de l’Organisation Internationale du travail (OIT) ainsi que du gouvernement colombien, représenté à cette rencontre par la vice-ministre du Travail, Mme Mariella Barragan.

    Le Royaume fait partie des quatre pays invités d’honneur, n’appartenant pas à la région latino-américaine, ayant pris part au Congrès constitutif de cette nouvelle organisation syndicale internationale, aux cotés de l’Espagne, de l’Italie et du Portugal.

    Sources : le site politique du Sahara occidental :
    www.corcas.com
    Voir aussi : Le portail du Sahara occidental :
    www.sahara-online.net
    Le site de la culture hassanie :
    www.sahara-culture.com
    Le site des villes du Sahara occidental :
    www.sahara-villes.com
    Le site du développement économique du Sahara occidental:
    www.sahara-developpement.com
    Le site social du Sahara occidental :
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  • Le Maroc a entrepris des efforts colossaux pour le développement du Sahara occidental (ancien ministre des AE du Pérou)

    Sahara occidental,Polisario,Tindouf,réfugiés sahraouis,République arabe sahraouie démocratique,Bir Lehlou,Smara,Laâyoune,Dakhla,autodétermination,RASD,peuple sahraoui,Aminatou Haider,Tifariti,occupation marocaineA travers son modèle de développement pour le Sahara, le Maroc a entrepris des efforts colossaux pour la promotion de ses Provinces du Sud afin qu’elles accompagnent l’élan de développement généralisé du Royaume, a indiqué l’ancien ministre péruvien des Affaires étrangères, Luis Gonzalez Posada.

    Dans une déclaration à la MAP, M. Posada également ancien Président du Congrès péruvien, a souligné que la mobilisation d’environ 7 milliards de dollars US pour la réalisation de projets de développement dans les Provinces du sud du Royaume reflète les efforts colossaux entrepris par le Maroc, qui ne possède pas de ressources naturelles telles le pétrole ou le gaz, pour promouvoir davantage ces provinces qui vivent actuellement dans une nouvelle ère de développement et de prospérité.

    Ces investissements revêtent une importance capitale dans la réussite des politiques socio-économiques et de la politique d’intégration, principales étapes sur la voie du développement dans les domaines de l’éducation, des sciences et de la culture, notamment en matière de droits de l’Homme, a-t-il fait observer.

    Le Maroc est parmi les rares pays à ne pas avoir été impacté par les troubles et actes de violences ayant secoué plusieurs pays de la région car le Royaume, selon M. Posada, a su entreprendre à temps des réformes constitutionnelles.

    Cet ancien ministre de la Justice du Pérou a salué les importantes réformes constitutionnelles entreprises par le Royaume sous la conduite de Sa Majesté le Roi Mohammed VI, en mettant en avant l’action du Souverain pour le renforcement des relations de coopération entre le Maroc et les pays d’Amérique latine.

    Réagissant à la discussion, mardi au siège de l’ONU, sur le financement des Objectifs de Développement durable (ODD), M. Posada a salué la position exprimée par l’Ambassadeur, Représentant Permanent du Royaume du Maroc auprès des Nations Unies, Omar Hilale, sur la situation au Venezuela.

    “Il s’agit là, et sans exagération aucune, d’un pas historique car c’est la première fois qu’un pays africain exprime, et de manière ferme, sa position vis-à-vis d’une dictature latino-américaine bafouant systématiquement les droits de l’Homme et jetant les jeunes contestataires dans les geôles”, a-t-il dit.

    Et d’ajouter que “le gouvernement vénézuélien commet un génocide social et mène le pays vers la pauvreté et la misère avec des taux d’inflation trop élevés, outre le haut pourcentage des homicides dus aux actes de violences et la rareté des produits alimentaires de base et des médicaments”, a-t-il poursuivi, soulignant que “dans de telles circonstances, le Président Nicolas Maduro a militarisé le pays et a rejeté tout appel à des élections locales, provoquant ainsi une forte condamnation interne et externe”.

    M. Hilale avait déploré lors d’une discussion au siège de l’ONU sur le financement des ODD que le Venezuela, pays le plus riche d’Amérique du Sud, condamne sa population à la misère en raison de la captation de ses richesses par l’oligarchie dictatoriale chaviste.

    Sources : le site politique du Sahara occidental :
    www.corcas.com
    Voir aussi : Le portail du Sahara occidental :
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    Le site de la culture hassanie :
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  • Le Parlement européen sensibilisé sur les conditions optimales du procès de Gdim Izik

    La Cour juge des hommes accusés d’avoir perpétré des crimes de droit commun et ne s’immisce pas dans les considérations politiques de certains accusés et leurs défenseurs

    Des avocats belges ont adressé, en leur qualité d’observateurs internationaux, une correspondance au Président et à tous les membres du Parlement européen les sensibilisant sur les conditions optimales de déroulement du procès de Gdim Izik.

    Dans cette lettre,le bâtonnier Pierre Legros et les avocats Emmanuel Carlier, André Martin Karongozi et Sophie Michez précisent que contrairement à ce que semble présumer certains eurodéputés, «le fait de rejuger les coupables ne résulte pas de protestations internationales contre une supposée illégalité des condamnations prononcées mais est consécutive à un changement de législation qui donne la chance aux accusés d’être jugés, une nouvelle fois, devant une juridiction civile », ajoutant que les familles des victimes peuvent aussi solliciter des dommages et intérêts alors qu’elles n’étaient pas recevables à le faire devant les juridictions militaires.

    Les avocats affirment que la Cour d’Appel de Salé “juge des hommes présumés d’avoir perpétré des crimes de droit commun et n’a pas à s’immiscer dans des considérations politiques que certains des accusés et leurs défenseurs font valoir”, notant que dans l’examen de l’affaire par la Cour, aucun sujet n’est considéré comme « tabou ».

    Dans leur lettre, les avocats précisent qu’il ne leur est actuellement «pas permis de conclure que le droit au procès équitable des accusés serait heurté par une prise de position de la Cour qui entendrait fonder de manière arbitraire, sa future décision quant à la culpabilité éventuelle d’un des accusés, dont la Cour a rappelé qu’ils bénéficient tous de la présomption d’innocence».

    Décrivant l’ambiance au sein de la Cour, les avocats ont indiqué que «deux salles d’audiences sont mises à la disposition du public composé majoritairement des familles et soutiens des accusés qui n’hésitent pas à scander en chœur et à haute voix leurs slogans politiques d’autodétermination, sans aucune entrave, au début et à la fin de chaque audience».

    Et de conclure qu’il «apparaît tout de même invraisemblable que des députés démocratiquement élus s’autorisent à donner la leçon en matière des droits de l’homme alors qu’ils en oublient les fondements essentiels».

    A rappeler que depuis son renvoi devant la Chambre criminelle près l’annexe de la Cour d’appel de Salé le 26 décembre 2016, le procès est suivi par plusieurs associations de défense des droits de l’homme, des ONG indépendantes nationales et internationales, des familles des victimes et des accusés, ainsi que par plusieurs médias nationaux et étrangers.

    Les événements de Gdim Izik, survenus en octobre et novembre 2010, avaient fait 11 morts et 70 blessés parmi les forces de l’ordre et quatre parmi les civils, ainsi que d’énormes dégâts matériels portés à des édifices publics et des biens privés.

    Le tribunal militaire de Rabat avait prononcé, le 17 février 2013, des peines allant de 20 ans de prison ferme, à la perpétuité contre les personnes impliquées dans cette affaire.

    Les accusés sont poursuivis pour “constitution de bandes criminelles et violences sur les forces de l’ordre ayant entraîné leur mort avec préméditation, mutilation de cadavres et complicité”.

    Sources : le site politique du Sahara occidental :
    www.corcas.com
    Voir aussi : Le portail du Sahara occidental :
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    Le site de la culture hassanie :
    www.sahara-culture.com
    Le site des villes du Sahara occidental :
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