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bir lehlou - Page 285

  • En dépit de l'annonce de sa libération par le Polisario, Mustapha Salma "demeure dans un état de confinement" à Mhiriz (HRW)

    Bien que le Polisario ait annoncé la "libération" de Mustapha Salma Ould Sidi Mouloud, le 6 octobre, ce dernier "demeure dans un état de confinement" dans la région éloignée de Mhiriz, indique mercredi un communiqué de Human Rights Watch (HRW).

    L'organisation internationale des droits de l'Homme, qui déplore "l'inexistence d'observateurs étrangers sur le terrain pour vérifier si Mustapha Salma est traité humainement", souligne qu'il avait été enlevé le 21 septembre dernier, (...) après avoir déclaré son soutien à la proposition marocaine d'autonomie.

    Les membres de la famille de Mustapha Salma, joints au téléphone mercredi par HRW, sont "sans nouvelles de lui depuis son enlèvement", affirme cette ONG internationale, appelant le Polisario "à autoriser l'homme qu'il détient à avoir un accès libre à sa famille".

    HRW rappelle, d'autre part, que Mustapha Salma Ould Sidi Mouloud avait donné une conférence de presse, le 9 août dernier à Smara, durant laquelle il s'est prononcé en faveur du plan marocain d'autonomie en tant que solution "viable" au conflit du Sahara.

    Sources : le site politique du Sahara occidental : 
                www.corcas.com
     Voir aussi : Le portail du Sahara occidental :
                www.sahara-online.net 
    Le site de la culture hassanie :
                www.sahara-culture.com   
    Le site des villes du Sahara occidental : 
                www.sahara-villes.com 
    Le site du développement économique du Sahara occidental: 
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  • Des dizaines de milliers de sahraouis refusent de subir la politique "du pire" prônée par le Polisario (Journal US)

    En cautionnant la proposition marocaine d'autonomie dans les provinces du sud, une solution "équitable" à même de mettre fin au conflit du Sahara, plusieurs dizaines de milliers de sahraouis refusent, ainsi, de subir la politique du "pire" prônée par le Polisario, écrit mardi le New York Post.

    Tout en mettant en doute la capacité du Polisario à diriger "ne serait-ce qu'un territoire minuscule", l'auteur de l'article Richard Miniter, journaliste d'investigation US et auteur à succès, souligne que le Maroc avait mis sur la table une "solution équitable" à travers l'initiative d'autonomie, que les "responsables de l'Administration Obama ont qualifié de +sérieuse et crédible+".

    Richard Miniter, qui a récemment rendu visite aux camps de Tindouf à l'invitation des séparatistes, affirme que "pas moins de cinq mille personnes disparaissent dans le désert chaque année (...), soit en regagnant le Maroc, soit en rejoignant les rangs des trafiquants de drogues ou ceux d'Al-Qaeda".

    L'auteur de l'article fait observer qu'une simple visite des camps de Tindouf et des provinces du sud du Maroc rappelle le contraste flagrant et douloureux, qui existait entre Berlin ouest et Berlin est du temps de la guerre froide.

    D'une part, explique-t-il, le Maroc "une monarchie constitutionnelle, avec 30 partis politiques, qui a consenti des efforts soutenus pour promouvoir dans son sud une société prospère et stable, construit de nouveaux ports (...) et de nouveaux logements venus supplanter les bidonvilles laissés par les Espagnols, outre l'arrivée d'investisseurs étrangers dans le secteur de l'hôtellerie notamment".

    A contrario, "le Polisario ne tolère ni l'existence de partis politiques, ni même celle de médias indépendants", poursuit Richard Miniter, auteur de deux bestsellers sur la liste du New York Times intitulés "Losing bin Laden" (Perdre bin Laden) et "Shadow War", (Guerre d'ombre).

    Dans cet article intitulé "Un bastion d'Al-Qaeda en devenir", il soutient que plusieurs dirigeants et membres du front Polisario ont "des liens avec le groupe terroriste d'Al-Qaeda" dans le Maghreb et que les étendues désertiques du Sahara "sont en passe de devenir le prochain Afghanistan".

    La nébuleuse terroriste, rappelle-t-il, avait été derrière les attentats perpétrés au Maroc, "le plus ancien allié des Etats-Unis dans la région".

    Elle a également perpétré des attentats contre des commissariats en Algérie et tenté de prendre pour cible des bâtiments de guerre US croisant dans le Détroit de Gibraltar et l'ambassade des Etats-Unis au Mali, ajoute-t-il.

    Il a aussi rappelé les dizaines d'opérations d'enlèvements menées par ce groupe terroriste contre des ressortissants européens dans la région, qui ont généré quelque 20 millions de dollars en rançons, "une somme suffisante pour financer une armée".

    Richard Miniter relate, dans ce contexte, l'histoire de Bashir Rguibi, "ancien propagandiste" des séparatistes, ayant regagné le Maroc, et qui affirme avoir visité "un bastion d'Al-Qaeda situé à Buirtaqsit, un territoire techniquement sous contrôle du Polisario, où les militants de la nébuleuse terroriste s'approvisionnent en armes et en roquettes".

    Sources : le site politique du Sahara occidental : 
                www.corcas.com
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  • Un analyste Espagnol relève le traitement "franchement déséquilibré" du conflit du Sahara par les médias dans son pays

    L'analyste espagnol et spécialiste de la question du Sahara, Chema Gil, a relevé le traitement "franchement déséquilibré" que réservent les médias dans son pays au conflit du Sahara.

    En Espagne, le traitement de ce différend par la presse espagnole est "franchement déséquilibré et penche en faveur du Polisario", a affirmé l'analyste dans un entretien publié par le site d'information "Globedia", en soulignant que les médias de son pays deviennent aussitôt "frileux" dès lors qu'il s'agit de rapporter ou de commenter des informations qui épinglent le Polisario.

    Il s'interroge aussi sur l'interprétation à donner au "mutisme" des médias espagnols concernant le démantèlement, récemment, par le Maroc, de deux cellules liées à Al Qaeda, dont l'une est dirigée par un extrémiste, ancien résidant en Italie et pro-Polisario, et qui s'est fait baptiser "Front du jihad sahraoui".

    Autre exemple de la désinformation des médias espagnols pour tout ce qui se rapporte au Sahara, les derniers incidents près de la ville de Laayoune. Ces supports n'ont fait que reproduire des propos d'activistes pro-Polisario, dont certains informés depuis l'Espagne. "Pour ce qui est des communiqués officiels publiés par le Maroc ou l'enquête ouverte (sur le décès du jeune Najem El Gareh) etc, les médias espagnols sont restés muets ou presque".

    En réalité, affirme Chema Gil, "ce qui se passe au sein des médias espagnols, bien que la situation commence à changer petit à petit, n'est que le reflet de ce qui se passe au sein de la société espagnole" où la connaissance problème du Sahara "demeure résiduelle".

    "Certains Espagnols de quarante ans ou de cinquante ans peuvent avoir une idée plus ou moins proche et claire, mais à coup sûr obsolète, de la réalité réelle de ce conflit. Quant aux autres !", a-t-il lancé.

    Cette réalité est également la conséquence de "la méfiance cultivée, en Espagne, à l'égard du Maroc, une situation qui commence à changer et qui changera encore plus avec la présence de plus en plus nombreuse des entreprises espagnoles au Maroc et des Espagnols qui résident dans ce pays", affirme Chema Gil qui estime que la présence de la communauté immigré marocaine en Espagne, qui doit s'incorporer encore davantage dans la société civile, à travers des associations, des forums et une forte présence dans les universités, peut également aider à renverser la donne.

    "La Catalogne est peut-être le meilleur exemple de ce changement de conception" du conflit du Sahara et à l'égard du Maroc en général, a-t-il assuré.

    "Il est vrai que la balance est en train d'être rééquilibrée, bien que le rythme en soit trop long, étant donné que le Polisario a de moins en moins de crédibilité en Espagne", estime Chema Gil, également spécialiste en communication.

    Sources : le site politique du Sahara occidental : 
                www.corcas.com
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