Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

Position - Page 25

  • Alpha Condé : L’UA est « plus forte » avec le retour du Maroc

    Avec le retour du Maroc à la famille institutionnelle africaine, l’Union Africaine (UA) est sortie « plus forte » qu’avant, s’est félicité mardi à Abidjan, le président de la Guinée, Alpha Condé, également président en exercice de l’UA.

    « Certains de mauvaise augure considéraient que le retour du Maroc allait faire éclater l’Union Africaine, or cette dernière est devenue plus forte, une fois le Royaume a recouvert sa place naturelle », a-t-il dit lors de sa participation aux travaux de la 2è édition de la Conférence Internationale sur l’Emergence de l’Afrique (CIEA 2017), qu’abrite la métropole économique ivoirienne jusqu’au 30 courant.

    Les pays africains se trouvent confrontés à une multitude de difficultés, notamment le danger du terrorisme, l’immigration clandestine, les défis de développement, et le déficit énergétique, a-t-il rappelé, notant que l’implication du Royaume via son expertise et son savoir- faire, dans la gestion de ces dossiers, ne pourra être que bénéfique pour toute l’Afrique.

    « Nous pouvons avoir des divergences, mais ce qui doit nous unir face à des problèmes identiques est plus important. La preuve, le Maroc est revenu par consensus des Etats, et l’UA s’en est sortie plus forte qu’avant », a-t-il expliqué, mettant en avant l’engagement du Royaume, sous la conduite de SM le Roi Mohammed VI, à œuvrer pour un Continent émancipé, émergent, développé et prospère qui a confiance en lui-même.

    Sources : le site politique du Sahara occidental :
    www.corcas.com
    Voir aussi : Le portail du Sahara occidental :
    www.sahara-online.net
    Le site de la culture hassanie :
    www.sahara-culture.com
    Le site des villes du Sahara occidental :
    www.sahara-villes.com
    Le site du développement économique du Sahara occidental:
    www.sahara-developpement.com
    Le site social du Sahara occidental :
    www.sahara-social.co

  • La dictature du Polisario ressemble à celles qui a été décrite dans 1984 de Georges Orwell (analyste espagnole)

    Saadani Maouelainine : "Personne n’utilise la dictature pour protéger la révolution, si non que la révolution a été fondé sur la dictature"

    L’analyste espagnole Clara Révirus, spécialiste des affaires d’Amérique latine, a comparé la tragédie qu’a vécue Saadani Maouelainin, membre du Conseil Royal Consultatif des Affaires Sahariennes (Corcas), dans les camps de Tindouf, aux événements relatés par Georges Orwell dans son roman célébre, "1984", qui raconte l’histoire du parti unique qui gouvernait au nom de "Big Brother", et qui renforçait son pouvoir, par les moyens de la terreur, de la haine, de la séquestration, la torture, l’assassinat et la falsification de l’histoire au nom de la patri et de la révolution.
    Une tragédie que la famille de Saadani Maouelainin a vécue avec elle, quand son père a été accusé de haute trahison, avant de perdre sa fille, déportée à Cuba.
    La correspondante du journal espagnol " Mondiarillo ", a consacré un article publié le 21 mars courant, sous le titre de : "Des femmes hors de l’espace géographique : la liberté, la mémoire et le militantisme", à Saadani Maouelainin.
    Elle s’exclame dans cet article : "comment ne pas penser à Orwell et son roman célébre 1984, quand Saadani Maouelainin raconte son histoire tragique".
    Saadani adécrit les camps de Tindouf dans le sud algérien, comme étant "un monde où on ne progresse que vers la souffrance", un lieu soumis à une surveillance permanente et rapprochée au point de contrôler même la respiration des habitants et "la vie là-bas n’a que le sens que lui donne la répression".
    Saadani a compris que la révolution préconisée par le mouvement séparatiste militaire, est une révolution falsifiée, comme l’a d’ailleurs compris son père, tard.
    C’est ce qui lui fait dire que : " Personne n’utilise la dictature pour protéger la révolution, si non que la révolution a été fondé sur la dictature ".
    Elle a ainsi, décidé en 2003 de retourner dans sa patrie d’origine que son père a quitté en allant en Algérie, trompé par les thèses du Polisario, au moment du déclenchement du conflit du Sahara.
    Elle a ensuite contribué à faire découvrir la vérité par le monde et estime que les dirigeants du Polisario doivent être soumis à un procès, et que les retenus des camps de Tindouf soient libérés.
    Cet article de Clara Revirus a été publié dans le cadre d’une série consacré à la Journée internationale de la femme, en racontant, les parcours et expériences de femmes de toutes les régions du monde, qui ont eu des parcours exceptionnels
    L’écrivaine espagnole a consacré une partie de ses articles à des femmes sahraouies retenues dans les camps de Tindouf, en indiquent qu’il existe plus de 100 femmes kidnappées, telles que Maalouma, Daria Mbarek et d’autres, qui ont été séquestrées au nom des traditions tribales en totale violation de leurs droits individuels.

    Sources : le site politique du Sahara occidental :
    www.corcas.com
    Voir aussi : Le portail du Sahara occidental :
    www.sahara-online.net
    Le site de la culture hassanie :
    www.sahara-culture.com
    Le site des villes du Sahara occidental :
    www.sahara-villes.com
    Le site du développement économique du Sahara occidental:
    www.sahara-developpement.com
    Le site social du Sahara occidental :
    www.sahara-social.com

  • La CGT de Colombie appelle à la libération des femmes sahraouies séquestrées dans les camps de Tindouf

    “Ces femmes sont privées de leurs droits à l’expression, à la libre circulation et à la santé, dans un territoire dépourvu des conditions de vie digne et sont obligées à se séparer de leurs enfants déportés ”

    La Confédération Générale du Travail (CGT) de Colombie, le plus grand syndicat du pays, a lancé “un appel urgent pour la libération des femmes sahraouies séquestrées dans les camps de Tindouf, victimes de violations quotidiennes inacceptables et systématiques de leurs droits fondamentaux”.

    Dans un communiqué publié sur son site web à l’occasion de la Journée internationale de la femme, la CGT de Colombie a appelé à une “intervention internationale et onusienne immédiate pour éviter que perdure la détérioration de la situation des droits de l’Homme dans les camps de Tindouf (sud de l’Algérie), où les femmes souffrent d’une situation humanitaire précaire en raison d’abus sexuels et de procréation forcée”.

    “Ces femmes sont privées de leurs droits les plus élémentaires comme le droit à l’expression, à la libre circulation et à la santé, de même qu’elles sont soumises à des pratiques esclavagistes dans un territoire dépourvu des conditions minimales pour une vie digne et sont obligées à se séparer de leurs enfants déportés vers des pays lointains”, déplore le communiqué.

    La Confédération Générale du Travail de Colombie attire également l’attention sur la situation alarmante des femmes dans les camps de Tindouf, qui sont soumises à de graves violations, en précisant qu’en dépit des appels répétés du Haut-commissariat des Nations Unies aux Réfugiés (HCR) et du Secrétariat Général des Nations Unies, le nombre de personnes retenues dans ces camps demeure inconnu.

    Selon la CGT colombienne, l’absence du recensement de la population séquestrée, a fait que le Polisario s’adonne au détournement des aides humanitaires destinées à ces camps, tel que confirmé par les rapports du HCR, du Programme Alimentaire Mondial (PAM), du Bureau européen anti-fraude (OLAF) et de l’Union Européenne, au détriment des femmes et des enfants, les plus affectés par l’extrême pauvreté sévissant dans ces camps.

    Cette situation, avertit le communiqué, a été dénoncée à plusieurs occasions par les organes des Nations Unies notamment au Conseil des Droits de l’Homme, ou encore à la Quatrième Commission de l’Assemblée générale de l’ONU, ainsi que par de nombreuses ONG et associations humanitaires à travers le monde.

    Devant cette situation alarmante qui perdure depuis quatre décennies, la CGT exhorte le Secrétaire Général des Nations Unies et la Communauté internationale à intervenir pour mettre fin aux graves violations des droits de l’Homme perpétrées dans les camps de Tindouf, ajoute la même source, appelant “les parties concernées à trouver une solution politique et définitive au différend régional au Sahara, et ce, dans le cadre de la souveraineté du Royaume du Maroc et conformément à la proposition marocaine d’autonomie, qualifiée de sérieuse et crédible par la communauté internationale”.

    Sources : le site politique du Sahara occidental :
    www.corcas.com
    Voir aussi : Le portail du Sahara occidental :
    www.sahara-online.net
    Le site de la culture hassanie :
    www.sahara-culture.com
    Le site des villes du Sahara occidental :
    www.sahara-villes.com
    Le site du développement économique du Sahara occidental:
    www.sahara-developpement.com
    Le site social du Sahara occidental :
    www.sahara-social.com