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  • Un responsable malien salue la dynamique de développement de la région de Laâyoune-Boujdour-Sakia-El Hamra

    Le président de la Commission des Affaires étrangères, des Maliens de l'extérieur et de l'intégration africaine à l'Assemblée nationale malienne, M. Amadou Bouaré a salué mercredi la dynamique de développement que connaît la région de Laâyoune-Boujdour-Sakia-El Hamra.

    "Nous avons été très impressionnés par tous les programmes de développement local réalisés au niveau de la commune de Laâyoune et de la région de Laâyoune-Boujdour-Sakia-El Hamra", a déclaré à la presse M. Bouaré, au terme d'une série de rencontres avec des responsables locaux dans la ville de Laâyoune.

    M. Bouaré a souligné que sa visite à Laâyoune à la tête d'une délégation de parlementaires maliens constitue une occasion pour "asseoir les bases d'une relation de coopération avec les responsables locaux", plaidant en faveur de la signature "d'accords de jumelage entre les communes du Maroc et du mali pour renforcer les liens d'amitié de solidarité de fraternité entre nos deux peuples".

    Il a par ailleurs salué l'initiative d'autonomie proposée par le Maroc pour clore définitivement le dossier du Sahara, la qualifiant d'"unique en son genre" en ce sens qu'elle accorde une large autonomie aux provinces du sud du Royaume "en termes de prise de décisions, de gestion et de mobilisation des ressources pour faire face aux défis de développement dans ces provinces".

    Au cours de ses rencontres avec le wali de la région de Laâyoune-Boujdou-Sakia-El Hamra, gouverneur de la province de Laâyoune, M. Mohamed Jalmous, et des présidents et membres des conseils élus, la délégation malienne a pris connaissance des derniers développements de la question du Sahara et l'évolution de ce conflit artificiel monté de toutes pièces, ainsi que les efforts consentis par le Maroc en vue d'aboutir à une solution définitive à ce dossier dans le cadre de l'intégrité territoriale du Royaume. 

    Les membres de la délégation malienne se sont également enquis des grands chantiers ouverts par le Maroc en matière de consécration de la culture des droits de l'Homme, de la liberté d'expression, du renforcement de la participation de la femme à la vie politique et de l'adhésion de la société civile à la gestion de la chose locale.

    Les élus locaux ont, pour leur part, souligné que l'initiative d'autonomie est l'unique solution pour le règlement définitif de la question du Sahara, réaffirmant leur attachement à cette initiative qui consolidera le processus de développement que connaît la région et permettra aux populations locales de gérer leurs propres affaires dans le cadre de la souveraineté marocaine.

    Ils ont appelé les membres de la délégation malienne à être les ambassadeurs du Maroc au Mali et auprès des autres pays africains en apportant leurs témoignages sur les projets de développement réalisés dans les domaines économique, social et d'infrastructure de base, et en matière de promotion des droits de l'Homme.

    Sources : le site politique du Sahara occidental : 
                www.corcas.com
    Voir aussi : Le portail du Sahara occidental :
                www.sahara-online.net
    Le site de la culture hassanie :
                www.sahara-culture.com  
    Le site des villes du Sahara occidental : 
                www.sahara-villes.com
    Le site du développement économique du Sahara occidental: 
                                  www.sahara-developpement.com 
    Le site social du Sahara occidental :
                                  www.sahara-social.com

  • L’initiative marocaine d’autonomie, solution idoine du conflit du Sahara (députés européens)

    L'initiative marocaine d'octroyer une large autonomie aux provinces du Sud est la solution idoine au conflit du Sahara, ont affirmé lundi à Rome, des députés italiens et européens.

    M. Francesco Asis, vice-président exécutif de l'Internationale démocratique du centre et Mme Maria Rauch Kallat, députée européenne et ex-ministre autrichienne, ont fait observer, à ce propos, que l'intégration des pays du Maghreb ne saurait se réaliser sans un règlement définitif des contentieux en suspens, notamment entre le Maroc et l'Algérie.

    Intervenant lors d'un colloque à Rome, initié par l'Internationale des femmes démocratiques des partis du centre, sur "la gouvernance et le développement au Maghreb arabe", ces députés ont relevé que le conflit du Sahara n'a que trop duré, entravant l'intégration maghrébine et le règlement des problèmes réels dont souffrent les peuples de la région.

    Soulignant la nécessité de résoudre sans tarder le conflit du Sahara, sur la base de l'initiative courageuse d'autonomie proposée par le Maroc, des eurodéputés et des sénateurs italiens du Centre ont fait valoir que la stabilité politique et le règlement des anciens conflits, notamment celui entre le Maroc et l'Algérie, sont essentiels pour favoriser l'intégration de la région maghrébine.

    Les pays du Maghreb sont, d'autre part, appelés, à l'instar de ce qu'a fait Maroc, à élargir le champ des libertés et à assurer les conditions nécessaires pour la réalisation du développement socio-économique, ont-ils recommandé.

    Ce colloque a été marqué par la participation de l'ambassadeur du Maroc à Rome, M. Nabil Benabdellah, de députés européens et de responsables de l'UE ainsi que des représentants d'organisations internationales.

    Par ailleurs, les différents intervenants ont salué les réformes engagées au Maroc dans les domaines, politique, économique et social.

    Ce processus de réformes a érigé le Royaume en exemple à suivre par les autres pays de la région, ont-ils insisté.

    Les participants à cette rencontre se sont penchés sur l'examen des défis qu'affronte la région du Maghreb arabe, notamment la sécurité, l'immigration clandestine, la lutte contre les stupéfiants et le terrorisme.

    Ont notamment pris part à cette conférence, des membres du Sénat italien, M. Beneditto Adrania, Jeanpierro Dalia, Stefano De Lelo et la présidente de l'Internationale des femmes démocratiques des partis du Centre, Mme Anna Maria Cherfoni.

    Sources : le site politique du Sahara occidental : 
                www.corcas.com
    Voir aussi : Le portail du Sahara occidental :
                www.sahara-online.net
    Le site de la culture hassanie :
                www.sahara-culture.com  
    Le site des villes du Sahara occidental : 
                www.sahara-villes.com
    Le site du développement économique du Sahara occidental: 
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    Le site social du Sahara occidental :
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  • Le Plan d’autonomie répond aux exigences démocratiques de la Charte européenne (Expert français)

    Le Plan marocain d'autonomie, qui s'inscrit dans le sens de l'évolution démocratique voulue par SM le Roi Mohammed VI, répond aux exigences démocratiques de la Charte européenne de l'autonomie régionale, a affirmé, samedi à Lyon (France), Jean-Christophe Robert, Maître de conférence en Histoire de droit à l'Université de Perpignan Via Domitia.

    M. Robert, qui s'exprimait dans le cadre d'une rencontre sur le thème: "Les statuts d'autonomie régionale en droit comparé à la lumière de l'initiative marocaine d'autonomie de la région du Sahara", a fait remarquer que la convergence entre la charte européenne et le Plan marocain d'autonomie s'observe à travers la reconnaissance à la collectivité autonome de certains droits tout en prévoyant des organes de décision démocratiquement constitués.

    La proposition marocaine, qui "intègre les standards démocratiques européens", n'a pas manqué de satisfaire les exigences propres à la démocratie territoriale, en prévoyant des organes élus, un pouvoir auto-constituant, les ressources financières nécessaires au développement de la région dans tous les domaines et une garantie constitutionnelle, a-t-il expliqué, faisant observer que le Plan d'autonomie "va même parfois au-delà des préconisations de la Charte européenne".

    François-Paul Blanc, Professeur à la faculté internationale de droit comparé (Université de Perpignan) a, pour sa part, insisté sur le caractère "indiscutable de la marocanité du Sahara", relevant que la décolonisation, en deux temps, du Maroc n'a pas permis la restructuration du Royaume dans le cadre de ses frontières historiques.

    L'universitaire français a souligné en outre que le Plan d'autonomie est un "projet extrêmement avancé" de par les principes démocratiques qui ont présidé à son élaboration, mettant en exergue les convergences qui existent entre ce projet et l'autonomie en vigueur dans un pays "unitaire" comme l'Espagne, notamment.

    Abondant dans le même sens, Ahmed Bouachik, professeur à l'Université Mohammed V, Souissi-Rabat, a indiqué que le Plan d'autonomie sous souveraineté marocaine s'inspire d'un certain nombre d'expériences similaires menées notamment en Italie et en Catalogne (Espagne), rappelant que cette initiative est intervenue dans le cadre d'une démarche à laquelle avait appelé de ses voeux l'Organisation des Nations Unies.

    La mise en place de ce Plan, a souligné M. Bouachik, qui est également co-directeur de la revue marocaine d'administration locale et de développement (Remald), permettra la résolution de manière définitive d'un conflit artificiel, l'instauration d'un équilibre dans la région au niveau géopolitique et géostratégique, la réunification du Maghreb, mais aussi le rapatriement au Maroc des populations séquestrées dans les camps de Tindouf.

    Le Plan d'autonomie satisfait du point de vue juridique ce que demandaient les instances internationales, a soutenu, de son côté, André Cabanis, Professeur à l'Université des sciences sociales de Toulouse, directeur honoraire de l'Institut d'études politiques basé dans la même ville, saluant "la volonté claire" du Maroc de résoudre un conflit qui n'a que trop duré.

    Pour lui, le Plan d'autonomie, qui tient compte de la diversité du Royaume, se veut le reflet de la bonne gouvernance et de la consolidation des fondements démocratiques du Maroc, dans le sens d'une évolution générale qui est aussi celle de la plupart des démocraties.

    Cette rencontre, organisée par l'Institut pour l'Etude de la Francophonie et de la mondialisation, qui relève de l'Université Jean Moulin (Lyon 3), l'Université de Perpignan Via Domitia, Sciences Po de Toulouse et la Remald, a été marquée par la participation notamment de plusieurs sensibilités représentant les mondes académique, associatif et des droits de l'homme.

    Sources : le site politique du Sahara occidental : 
                www.corcas.com
    Voir aussi : Le portail du Sahara occidental :
                www.sahara-online.net
    Le site de la culture hassanie :
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    Le site des villes du Sahara occidental : 
                www.sahara-villes.com
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    Le site social du Sahara occidental :
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