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tindouf - Page 55

  • Sous le règne de SM le Roi, le traitement du dossier du Sahara repose sur l'efficacité et l'anticipation (le journal saoudien "Riyad")

    Sous le règne de SM le Roi Mohammed VI, le dossier du Sahara marocain est géré selon un nouveau traitement basé sur une diplomatie efficace, efficiente et d'anticipation, a écrit jeudi le journal saoudien "Riyad".

    Dans un article intitulé "Le Sahara marocain : entre la légitimité historique et la légalité juridique", la publication souligne que cette nouvelle approche "repose sur une action proactive adossée à des objectifs bien définis, partant de la foi immuable du Maroc en ses droits et de son attachement à l'intégrité de son territoire".

    Illustrant l'article par des photos de Marocains ayant participé à la marche verte, le quotidien saoudien relève que la date du 6 novembre 1975 a marqué un tournant décisif dans la gestion du dossier du parachèvement de l'intégrité territoriale du Maroc.

    Cette gestion, peut-on lire, préconisait désormais le réalisme politique tout en faisant valoir le rôle du tandem Trône/Peuple dans la lutte contre les thèses séparatistes et colonialistes qui ciblaient le Maroc à l'époque.

    Le Royaume a également fait sienne une stratégie pertinente pour contrer les attaques répétées qui visaient à semer la zizanie à l'intérieur du pays et à brandir la carte des droits de l'homme à l'extérieur, notamment à la lumière des revers cuisants que subissait le principe de l'autodétermination".

    Selon la publication, "le droit des peuples à l'autodétermination est l'un des droits humains les plus anciens qui s'est imposé face aux puissances colonialistes après les pressions des mouvements de libération nationale à travers le monde".

    Or, nuance la publication, il ne faut pas feindre d'ignorer que "la stipulation du doit à l'autodétermination dans les textes onusiens est intervenue dans le sillage des efforts de l'ONU pour la libération des peuples du colonialisme et non pas pour le morcellement des Etats et l'atteinte à leur souveraineté et à leur intégrité territoriale".

    "Il faut reconnaitre le rôle d'avant-garde joué par le Maroc dans la consécration du droit à l'autodétermination qui visait essentiellement le retour à la normale de l'intégrité territoriale des Etats occupés et une rupture avec les politiques impérialistes", écrit le journal, soulignant que le Royaume figurait parmi les premiers pays à avoir donné corps à ce principe en reconnaissant en 1776 les Etats Unis d'Amérique.

    La publication rappelle, également, que l'Espagne, qui occupait le Sahara marocain, était pour des discussions directes avec le Royaume du Maroc en vue de soutenir la décolonisation dans la région, relevant que le Maroc ne cessait de revendiquer la récupération de ce territoire sous occupation espagnole, après une indépendance inachevée en 1956, à commencer par le discours historique de feu Mohammed V en 1958 avant qu'une délégation marocaine, conduite par feu Hassan II, encore prince Héritier à l'époque, ne présenta en 1960 une demande officielle près l'ONU au sujet de la nécessité de mettre fin à l'occupation au Sahara.

    Le journal signale, par ailleurs, que la résolution onusienne N 1514 intitulée "Déclaration sur l'octroi de l'indépendance aux pays et aux peuples coloniaux" a dénué la thèse séparatiste de tout fondement, lorsqu'elle a stipulé que "toute tentative visant à détruire partiellement ou totalement l'unité nationale et l'intégrité territoriale d'un pays est incompatible avec les buts et les principes de la Charte des Nations Unies".

    La même source relève que le principe édictant l'impératif de non exploitation du droit à l'autodétermination dans des buts visant à porter atteinte à l'intégrité territoriale et nationale des Etats a été réitéré à travers plusieurs résolutions onusiennes, dont celle N 2625 adoptée en 1970 par l'Assemblée générale de l'ONU, qui a souligné que ce principe demeure tributaire de l'impératif de respecter l'unité nationale et l'intégrité territoriale des Etats indépendants et souverains.

    Le journal s'attarde également sur l'avis consultatif, sans équivoque, rendu par la Cour internationale de justice en 1974, qui a confirmé que le "Sahara n'était pas un territoire sans maître au moment de la colonisation par l'Espagne", précisant au contraire que les tribus sahraouis avaient des "liens juridiques" avec le Royaume du Maroc.

    Sources : le site politique du Sahara occidental :
    www.corcas.com
    Voir aussi : Le portail du Sahara occidental :
    www.sahara-online.net
    Le site de la culture hassanie :
    www.sahara-culture.com
    Le site des villes du Sahara occidental :
    www.sahara-villes.com
    Le site du développement économique du Sahara occidental:
    www.sahara-developpement.com
    Le site social du Sahara occidental :
    www.sahara-social.com

  • Le CS tient des consultations sur le Sahara occidental en présence de l’Envoyé personnel du SG

    Le Conseil de Sécurité des Nations-Unies a tenu, mardi à New York, des consultations sur la question du Sahara occidental marocain, en présence de l’Envoyé personnel du Secrétaire général, Horst Kohler, qui a briefé les membres du Conseil sur ses derniers efforts visant à relancer les pourparlers.

    M. Kohler a ainsi informé les membres du Conseil qu’il comptait tenir en mars prochain une nouvelle table ronde similaire à celle de Genève de décembre dernier, précédée de rencontres bilatérales avec les parties, ont indiqué à la presse plusieurs ambassadeurs de pays membres du Conseil de sécurité, à l’issue de cette réunion.

    L’Envoyé personnel du Secrétaire général pour le Sahara devra se réunir individuellement avec les quatre parties (Maroc, Algérie, Mauritanie et polisario) au cours du mois de février afin de développer un “agenda” pour une nouvelle table ronde en mars prochain, selon les mêmes sources.

    Interrogé par la MAP à sa sortie de la réunion du Conseil de sécurité, Horst Kohler a confirmé qu’il comptait organiser en mars une nouvelle réunion avec le Maroc, l’Algérie, la Mauritanie et le polisario. “Nous préparons le prochain round et nous nous attendons à une bonne réunion en mars”, a-t-il dit.

    De son côté, l’ambassadeur de France à l’ONU, François Delattre, a indiqué que même si M. Kohler n’a pas mentionné de date précise pour cette prochaine rencontre prévue en mars, “le contexte, selon ses propres mots, reste favorable” pour la reprise des pourparlers.

    “Il ressent un élan réel. Il a une vision, et la confiance de toutes les délégations autour de la table. Donc, nous avons un bon environnement”, a dit le diplomate français à la presse.

    Evoquant le déroulement des consultations du Conseil de sécurité, M. Delattre a estimé qu’il s’agit d’une “bonne réunion, de laquelle je retiens surtout le soutien unanime aux efforts de l’Envoyé personnel”. Selon l’ambassadeur français, “la vision et l’engagement de M. Kohler envers l’élan qu’il a contribué à créer sont vraiment incomparables”. “Il y avait donc un soutien unanime pour lui et pour ses efforts”, a ajouté le diplomate.

    Pour sa part, l’Ambassadeur d’Allemagne à l’ONU, Christoph Heusgen, a indiqué que l’Envoyé personnel du Secrétaire général reste “très engagé” dans ce dossier et qu’il a réitéré devant le Conseil de sécurité sa volonté d’aboutir à “une solution réaliste, pratique et durable” à la question du Sahara marocain.

    “Il était très important de voir que tout le monde autour de la table le soutenait. Tout le monde a dit qu’il s’agit d’un conflit auquel nous pourrons trouver une solution”, a relaté l’ambassadeur allemand devant la presse.

    Selon lui, la résolution de ce conflit serait aussi positive “pour les habitants de la région, car le potentiel économique du Maghreb est immense, mais malheureusement il n’est pas exploité aujourd’hui à cause de ce conflit”.

    L’ambassadeur allemand a ainsi regretté que le potentiel de l’intégration économique de la région du Maghreb soit bridé par ce conflit qui n’a que trop durer. “Aujourd’hui, il existe à peine un quelconque échange commercial entre le Maroc et l’Algérie (…) pourtant deux grands pays de la région dont les populations bénéficieraient toutes d’une telle intégration”, a-t-il dit.

    La résolution de ce conflit, qui est à même d’ouvrir la voie à l’intégration maghrébine, marquera “une avancée énorme” pour la région, et “l’Allemagne reste très favorable” à une telle issue, a assuré M. Heusgen.

    Sources : le site politique du Sahara occidental :
    www.corcas.com
    Voir aussi : Le portail du Sahara occidental :
    www.sahara-online.net
    Le site de la culture hassanie :
    www.sahara-culture.com
    Le site des villes du Sahara occidental :
    www.sahara-villes.com
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    www.sahara-developpement.com
    Le site social du Sahara occidental :
    www.sahara-social.com

  • L'écrivain J M Lizundia présente son nouvel ouvrage sur le Sahara marocain à Las Palmas

    L'écrivain espagnol José Maria Lizundia a présenté, vendredi soir au club de La Provincia à Las Palmas, son nouvel ouvrage intitulé "A travers le désert du Sahara, avec une politologue colombienne et un ex-diplomate marocain".

    Il s'agit du 5ème livre sur le Sahara marocain de l'auteur après "Le Sahara comme méta-récit", "Le Sahara, perspective de révision", "Le Sahara, changement de paradigme" et "le Sahara, le déclin du totalitarisme".

    Le nouveau livre de M. Lizundia a été présenté devant une pléiade d'universitaires, de journalistes et de chercheurs par le professeur universitaire canarien spécialiste du Maghreb, Rafael Esparza Machin, et le journaliste du quotidien local La Provincia, Manuel Vidal Garrido, tous les deux des fins connaisseurs du conflit artificiel autour du Sahara marocain et de la réalité sur le terrain.

    Dans ce nouveau livre, l'auteur espagnol part d'une approche différente à celle qu'il a suivie dans ses précédents ouvrages, étant donné qu'il s'agit du résultat d'une série de réflexions consécutives à un séjour dans les provinces du sud pour participer à un colloque aux côtés d'une jeune politologue colombienne et d'un ancien diplomate marocain et des rencontres avec des responsables et des élus locaux.

    Sur place, il découvre une réalité totalement différente de ce que les adversaires de l'intégrité territoriale du Royaume et les médias acquis aux thèses séparatistes cherchent à véhiculer de par le monde sur ce conflit artificiel et la situation dans les provinces sahariennes marocaines.

    L'auteur fait contraster, dans ce nouveau travail, quatre réalités totalement différentes: d'un côté l'Algérie et les camps de Tindouf et de l'autre le Maroc et le Sahara, une réalité totalitaire traditionnelle de l’autre côté, face à une réalité démocratique et moderne incarnée dans le Royaume et qui se reflète dans tous les aspects de la vie quotidienne dans les provinces du sud.

    "Je n'ai pas relevé une division quelconque au sein de la société à Laâyoune", a fait remarquer M. Lizundia, qui exerce en tant qu'avocat aux Canaries et collabore en tant qu'éditorialiste avec plusieurs médias locaux, précisant que les circonstances et le contexte dans lequel le mouvement séparatiste du Polisario a vu le jour (guerre froide, marxisme …) n'existent plus et que le temps a vidé le conflit de tout sens.

    Selon lui, il n'y a pas d'autre solution au différend artificiel autour du Sahara marocain en dehors du plan d'autonomie présenté par le Maroc pour permettre aux populations locales de gérer, par elles mêmes, leurs affaires locales, notant que les populations séquestrées dans les camps de Tindouf "sont désespérées" face à un conflit qui n'a que trop duré.

    Ces populations sont prises en otage par le Polisario, un appareil totalitaire qui cherche à "les coloniser idéologiquement et émotionnellement", affirme-t-il lors de la présentation du livre, soulignant que le mouvement séparatiste prétend gagner des sympathisants à travers le monde par le mensonge et la victimisation et en véhiculant une image négative sur le Maroc et la situation dans le Sahara marocain.

    Les "amis" du Polisario ne parviennent pas à changer de rhétorique et résistent à abandonner une histoire ancienne dépassée par les événements, estime l'auteur.

    L’écrivain espagnol était accompagné, lors de son périple à travers les provinces du Sud, par la jeune politologue colombienne, Clara Riveros, et l'ancien diplomate marocain, Jamal Mechbal. Le voyage leur a permis de se rendre notamment à Laâyoune, Dakhla et Smara et de constater in-situ la réalité dans les provinces du sud.

    M. Lizundia évoque dans ce livre de 140 page, paru chez la maison d'édition "Alhulia", les progrès que connaissent les différentes villes du Sahara marocain, le potentiel de développement que recèlent les provinces du sud, la situation de la femme, les importants apports de la Constitution marocaine en tant que garante des droits de tous les Marocains, ainsi que la régionalisation avancée et le projet d'autonomie.

    Sources : le site politique du Sahara occidental :
    www.corcas.com
    Voir aussi : Le portail du Sahara occidental :
    www.sahara-online.net
    Le site de la culture hassanie :
    www.sahara-culture.com
    Le site des villes du Sahara occidental :
    www.sahara-villes.com
    Le site du développement économique du Sahara occidental:
    www.sahara-developpement.com
    Le site social du Sahara occidental :
    www.sahara-social.com