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smara - Page 244

  • Le SG de l’ONU sait que les négociations ne peuvent être reprises sous la direction de Ross (expert onusien)

    Ban Ki-Moon a eu le même comportement quand l’Algérie et le Polisario ont contesté l’ancien envoyée onusien Van Walsum

    L’Envoyé onusien, Christopher Ross a dépassé le cadre de sa mission, en accusant le Maroc d’espionner la Minurso et "le Secrétaire général (des Nations Unies) réalise tout à fait, que le processus des négociations ne peut se poursuivre sou l’égide de Christopher Ross alors que le Maroc ne veut plus traiter avec lui", c’est ce qu’a déclaré, M. Samir Bennis,  Conseiller politique des Nations unies et expert de la question du Sahara, dans un entretien publié par le site Hespress.

    Pour le conseiller politique onusien et Chef de la rédaction de la publication "Morocco World News", cette situation est exactement la même que celle qui a eu lieu quand "le Polisario et l’Algérie ont exprimé, fin 2008, leur intention de ne plus traiter avec l’ancien envoyé onusien Van Walsum….qui a déclaré qu’il n’est pas réaliste de concevoir la mise en place d’un Etat indépendant dans les provinces marocaines du sud".

    Sur les raisons du retrait par le Maroc de sa confiance à l’envoyé personnel du Secrétaire général des Nations Unies, l’expert international estime que le passé de Ross en Algérie, en tant qu’ambassadeur des Etats Unis, a aboutit au fait qu’il a favorisé la position algérienne qui est hostile à l’intégrité territoriale marocaine.

    M. Bennis ajoute que "la position prise par le Maroc est très juste, car M. Ross a montré qu’il n’était pas la bonne personne pour la charge de la médiation entre le Maroc et le Polisario, en plus du fait qu’il n’a rien fait depuis sa nomination début 2009, pour pousser le processus de négociation de l’avant et réaliser un progrès palpable pouvant faciliter la recherche d’une forme de consensus. Il a commencé à prendre des positions hostiles au Maroc, ce qui est en opposition avec la mission de médiation dont il avait la charge".

    Le Conseiller onusien, estime que M. Ross "a commencé à dépasser le cadre de sa mission et de celle de la Minurso quand il a commencé à suggérer au Conseil de sécurité qu’il était nécessaire d’envoyer une commission d’enquête sur la question des droits de l’homme au Sahara, pendant qu’il évitait de faire pression sur l’Algérie et le Polisario pour le recensement des habitants des camps de Tindouf et l’évaluation de la situation des droits de l’homme dans les camps. Alors, que de nombreuses organisations non gouvernementales ont exigé que la communauté internationale se penche sur la situation catastrophique des habitants des camps. Face à ces données, il était nécessaire que le Maroc prenne une telle position".

    A propos des négociations actuelles, le Conseiller politique de l’ONU estime que "si les Nations Unies continue sur la même voie, c’est-à-dire, demander aux deux parties du conflit de négocier pour négocier, sans préciser les bases sur les quelles à lieu cette négociation, sans fixer un calendrier pour réaliser un progrès et la mise en place des bases pour parvenir à une solution politique mutuellement acceptable, je ne pense pas qu’un progrès soit réalisé dans ce dossier"

    Dans ce cadre et surtout depuis l’arrivé de Christopher Ross, "la question de la négociation est devenue un objectif en soi, au lieu d’être l’instrument pour arriver à l’objectif désiré…..au point que les observateurs commençaient à connaître d’avance, le contenu du communiqué de presse que lit l’envoyé personnel du secrétaire général à la fin de chaque round ".

    Il ajoute à ce propos, que "les mêmes propos se répétaient durant les 9 rounds de négociations informelles, dirigés par M. Ross de manière non professionnelles. Cela à montré les limites de son expérience diplomatique. La balle aujourd’hui est dans le camps de l’ONU qui doit réviser la démarche qu’elle a pratiqué depuis deux décennies, laquelle démarche a démontré qu’elle n’était pas adaptée pour résoudre le dossier du Sahara".

    Pour M. Bennis, le premier bénéficiaire de cette situation est le Polisario. "Pour la direction du Polisario, le maintien des négociations au niveau zéro est plus bénéfique, tant qu’elle profite des subsides conséquents collectés auprès de l’Algérie, d’Afrique du sud et des Organisations non gouvernementales qui soutiennent la thèse séparatiste".

    Citant le propos de l’économiste et professeur d’Oxford, Paul Coller, dans son ouvrage "Wars, Guns and votes, democracy in dangerous places", l’expert international déclare que "dans la plupart des cas de séparatisme, la voix du peuple n’est jamais entendue. Ce que les gens entendent c’est la voix des dirigeants qui considèrent que la révolte et le maintien du statu quo sont plus attrayant que de parvenir à un règlement définitif".

    A la tête des victimes de cette situation, l’expert onusien met les habitants des camps de Tindouf, en indiquant que ces habitants vivent "dans des conditions dures, privés du droit au travail, des autorisations de se déplacer librement à l’intérieur du territoire algérien en violation du droit international", rappelant aussi, que les habitants des provinces sahraouies souffrent de "l’inflation occasionnée par les salaires élevés dont bénéficient les fonctionnaires de l’ONU, qui provoquent la hausse des prix des marchandises de première nécessité et de l’habitat".

    A propos d’une question sur la position du Secrétaire général des Nations Unies, M. Bennis et sans "anticiper sur ce que fera le Secrétaire général des Nations Unies, pendant les semaines à venir", conclue qu’il "imagine que le Secrétaire général de l’ONU nommera une autre personne à la place de Ross".

    Sources : le site politique du Sahara occidental : 
                www.corcas.com
     Voir aussi : Le portail du Sahara occidental :
                www.sahara-online.net 
    Le site de la culture hassanie :
                www.sahara-culture.com   
    Le site des villes du Sahara occidental : 
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  • Le retrait de confiance à Ross ne signifie guère une transgression des résolutions du Conseil de sécurité

    Les négociations informelles dominées par des détails, alors que le Maroc avait proposé de tenir seulement une ou deux réunions

    La décision du Maroc de retirer sa confiance à Christopher Ross, envoyé personnel du secrétaire général de l'ONU pour le Sahara, ne signifie guère une quelconque transgression de l'esprit des résolutions du Conseil de sécurité ou une forme de renonciation à celles-ci, a affirmé jeudi à Rabat le ministre des Affaires étrangères et de la coopération, Saad Dine El Otmani.

    "Il s'agit d'une décision judicieuse et responsable militant en faveur d'une reconsidération globale du processus de règlement du dossier du Sahara", a déclaré El Otmani devant la commission de l'Extérieur, de la défense nationale, des affaires islamique et des Marocains résidant à l'étranger à la Chambre des représentants. Selon le ministre, "l'initiative marocaine fait suite à une évaluation globale et objective de ce dossier".
     
    Dans un exposé lors de cette réunion consacrée à l'examen de l'évolution de la question du Sahara, El Otmani a souligné que le Maroc tient à imprimer une nouvelle dynamique au processus de règlement de ce différend afin de sortir de l'impasse et mettre fin au statu quo, sur la base de l'initiative marocaine d'autonomie et dans le plein respect de la Souveraineté et de l'intégrité territoriale du Royaume.
     
    Le Maroc, qui a répondu favorablement aux efforts de l'ONU pour faire aboutir ce processus politique et s'est engagé de bonne foi dans les pourparlers y afférent, est déterminé à persévérer sur cette voie animé de la ferme volonté de parvenir à une solution politique consensuelle, réaliste et définitive sur la base de la proposition d'autonomie, a-t-il affirmé.
     
    Le retrait de confiance à Christopher Ross, a expliqué le ministre, a fait suite à une évaluation globale et objective du processus de pourparlers informels, particulièrement le dernier round de négociations et l'adoption de la résolution 2044 du conseil de sécurité.
     
    Cette évaluation, a-t-il ajouté, a conclu à ce que le processus de pourparlers indirects s'est érodé après la tenue de neuf rounds de négociations informelles d'autant que ceux-ci étaient dominés par des questions de moindre importance. A cet égard, il a rappelé que le Maroc avait proposé de tenir seulement une ou deux réunions préparatoires aux négociations formelles.
     
    Selon le ministre, l'évaluation a relevé une série de dérapages dans le dernier rapport du secrétaire général sur le Sahara, lequel a été déséquilibré et incohérent. De même, a-t-il ajouté, l'envoyé personnel est allé au-delà de sa mission en tentant d'influer sur le contenu de la résolution de l'ONU et s'est départi de l'objectivité et de la neutralité requises, deux conditions fondamentales dans tout processus de médiation.
     
    Sur la base de l'opération d'évaluation, a-t-il rappelé, le Maroc a informé le secrétaire général de Nations unies de sa position à l'égard de Ross, au même titre que nombre de pays frères et amis.
     
    Par ailleurs, M. El Otmani a souligné que la résolution 2044 était "équilibrée, acceptable et équitable" pour le Maroc de manière générale, grâce aux efforts déployés par la diplomatie marocaine pour faire face aux manœuvres des adversaires de l'intégrité territoriale du Royaume.
     
    Cette résolution comporte plusieurs acquis et aspects positifs pour le Maroc au niveau politique, dont la prolongation de la mission de la MINURSO jusqu'au 30 avril 2013 sans pour autant accéder aux revendications des adversaires du Maroc, qui aspiraient à dévier la MINURSO de sa mission initiale.
     
    La résolution a avorté les tentatives des adversaires de l'intégrité territoriale du royaume, qui visaient à affaiblir l'initiative marocaine d'autonomie en évoquant la question des droits de l'Homme au Sahara, et loué la réaction positive du Maroc avec les résolutions du Conseil de sécurité, à la faveur de l'ouverture par le Royaume de deux bureaux du Conseil national des droits de l'Homme à Laâyoune et Dakhla.
     
    La résolution, qui souligne qu'une solution politique demeure le prélude à la fin du conflit sur la base de la poursuite des négociations et l'intensification des rencontres, salue l'initiative marocaine d'autonomie et n'évoque guère l'option du référendum, a-t-il relevé.
     
    Sur le plan humanitaire, le ministre a souligné que la résolution a appelé, pour la deuxième année consécutive, le HCR à réviser l'opération d'enregistrement des réfugiés dans les camps de Tindouf, notant que la résolution 2044 est le fruit des efforts déployés par la diplomatie marocaine face aux manœuvres de l'envoyé personnel du secrétaire général des Nations Unies.
     
    Cette résolution a fait avorter les manouvres des adversaires de l'intégrité territoriale du Maroc, qui tentaient de porter préjudice à la crédibilité de l'initiative d'autonomie à laquelle le Maroc demeure attaché comme unique plateforme devant mettre fin au conflit, a poursuivi le ministre.
     
    Après avoir rappelé que la question du Sahara demeure une question de souveraineté nationale et d'intégrité territoriale, M. El Otmani a souligné que son département veille constamment et en permanence à suivre cette question dans le but de parer à toute manouvre des adversaires de l'intégrité territoriale du Royaume.
     
    Les présidents et représentants des groupes parlementaires avaient salué, au début de cette réunion, la décision du Maroc de retirer sa confiance à l'envoyé personnel du secrétaire général des Nations Unies pour le Sahara, Christopher Ross, appelant à davantage de vigilance pour contrer toute tentative visant à porter atteinte à l'intégrité territoriale du Royaume.
     
    Ils ont souligné l'importance d'impliquer toutes les composantes de la société marocaine (institution législative, partis politiques, société civile,..) dans la défense de la cause nationale.

    Sources : le site politique du Sahara occidental : 
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  • Le Maroc a un grand savoir faire en matière de négociation (une conférence de l’ambassadeur du Maroc en Australie)

    "Les Sultans du Maroc ont permis aux tribus sahraouies d’avoir une large autonomie "

    L’ambassadeur du Royaume du Maroc en Australie, M. Mohamed Maouelainin, a donné une conférence importante, au mois de mars dernier, à l’université de Sidney, sur le thème de "la négociation comme moyen du règlement des conflits" et comme étant "au cœur de toute diplomatie réussie".

    Il a évoqué à ce propos, l’exemple du Maroc comme exemple à la tradition établie dans ce domaine, en se fondant sur l’histoire du Royaume riche en ce type d’événement, notamment depuis les 17ième, 18ième et 19ième siècles, pendant les quels le Maroc a fait preuve d’une grande capacité de négociation pacifique pour régler les conflits de l’époque.

    La conférence qui avait pour titre : "la négociation, un instrument pour instaurer la paix et résoudre les conflits : le Maroc comme exemple", a été organisée dans le cadre du Centre d’étude pour la paix et sur les conflits de l’université australienne de Sidney.

    L’ambassadeur a entamé sa conférence par une question fondamentale sur la méthode utilisée par les Etats souverains, pour résoudre les conflits qui survenaient avant le 20ième siècle et avant les conventions internationales pour régler les conflits internationaux, en s’arrêtant à l’article 6 de la Charte des Nations Unies, qui s’intitule : "Résoudre les conflits de manière pacifique".

    L’ambassadeur a indiqué que le Maroc qui est resté un Etat indépendant pendant plus de 12 siècles, a joué un rôle très actif dans l’histoire contemporaine des Nations et dispose d’une longue histoire dans le domaine des alliances et des luttes de concurrence avec les puissances européennes modernes, à cause de sa position stratégique.

    Ainsi, jusqu’à la fin du 19ième siècle et face à la concurrence entre les Etats européens, le Sultan Moulay Hassan 1ier (1873-1894) a pratiqué "une stratégie qui consistait à éviter les frictions militaires directes avec la France le long de la frontière algérienne et avec l’Espagne sur les frontières avec les deux villes occupées de Ceuta et Mellilia, et à rechercher les solutions diplomatiques comme étant l’unique méthode pour régler les conflits".

    Le résultat de cette stratégie a fait que ces puissances internationales ont signé des accords avec le Maroc qui respectaient sa souveraineté. M. Maouelainin estime que cela avait lieu avec la conscience du fait que le régime royal tenait son unité territoriale de l’allégeance (Baiaa) faite par les chioukhs (chefs) de tribus au Sultan.

    Et ces tribus "bénéficiaient dans le cadre de ce système de large compétences en matière d’autonomie de leurs territoires qui constituaient des parties indivisibles de la Nation marocaine".

    Avec les ambitions coloniales croissantes de la France et de l’Espagne au début du 20ième siècle et malgré l’imposition du double protectorat en 1912, "la reconnaissance de l’autorité du système politique marocain sur toute action interne" et la reconnaissance du fait que le Maroc est un Etat souverain qui "négocie au sujet de tous les accords et conventions qui concernent son indépendance et son unité territoriale", a été maintenue.

    Lors de sa conférence l’ambassadeur marocain a évoqué l’histoire de la résistance au protectorat français et espagnol, en passant par le volet armé de cette résistance et sur la manière par laquelle le Maroc a arraché son indépendance par le biais de négociations difficiles, mais pacifiques, au sujet de six parties de son territoire sur plusieurs étapes :

    - La première négociation pacifique et la signature de la déclaration d’indépendance le 18 novembre 1956

    - La deuxième négociation pacifique avec l’Espagne pour la récupération des provinces sous son protectorat au nord du Maroc, en avril 1956

    - La troisième négociation pacifique en octobre 1956 au sujet de la ville de Tanger qui était sous la protection de 13 Etats

    - La quatrième négociation pacifique sur l’ensemble de la région su Sahara et dont l’Espagne a rendu la partie nord, c’est-à-dire la région de Tarfaya en 1958

    Le Maroc a poursuivi sa négociation pacifique en 1962 quand il s’est présenté aux Nations Unies et leur commission de décolonisation, comme unique partie revendiquant la récupération du Sahara, pour inviter l’Espagne a des négociations pacifiques sur le reste des territoires sahraouis et la ville de Sidi Ifni. Une résolution onusienne a été publiée en 1965, dans laquelle la commission de décolonisation invitait l’Espagne à appliquer la proclamation au sujet de l’octroi de l’indépendance aux territoires et aux peuples colonisés.

    La cinquième étape de négociation pacifique a concerné Sidi Ifni, puisqu’une résolution onusienne publiée en décembre 1966, invitait l’Espagne à accélérer la décolonisation de cette ville. L’année suivante, le gouvernement Franco a entamé des négociations avec le Maroc, qui se sont soldées par la récupération de cette ville en 1969.

    Mais, rappelle M. Maouelainin, l’Espagne a tenté de "prolonger la période coloniale en divisant l’affaire en deux, le Sahara occidental d’un côté et Sidi Ifni de l’autre".

    Après la fondation du Polisario dans le contexte de la guerre froide, les nouvelles données politiques de l’époque, ont influencé les mécanismes de l’ONU, estime l’ambassadeur marocain, alors "les dossiers ne sont plus traités sur la base de la légitimité historique, mais sur les bases de l’appartenance aux deux camps est ou ouest".

    Le Maroc a cependant, poursuivi le processus de négociation pacifique avec l’Espagne par le renvoi du dossier du Sahara des Nations Unies à la Cours internationale de justice, qui a confirmé en octobre 1974, l’existence de liens juridiques ‘Baiaa) entre les tribus du Sahara et les Rois du Maroc. C’est l’avis juridique sur le quel s’est fondé Le défunte Roi Hassan II pour libérer pacifiquement le Sahara par le biais de la Marche verte populaire.

    L’ambassadeur s’est arrêté à la sixième négociation avec l’Espagne, qui est intervenues sur demande du Conseil de sécurité et qui a été suivie de la récupération par le Maroc du Sahara, en évoquant l’influence évidente de la guerre froide sur l’affaire du Sahara.

    Ainsi l’Algérie qui appartenait au camp de l’Est a soutenu le Front séparatiste du Polisario. Alors "une affaire de décolonisation entre le Maroc et l’Espagne s’est transformée en conflit armé avec des séparatistes soutenus sur le plan internationale par le voisin de l’est".

    Du sommet de l’Organisation de l’Unité Africaine de 1981, et la reconnaissance de celle-ci, en 1984 d’une entité sur le territoire objet du conflit sans referendum, jusqu’au renvoi du dossier devant l’ONU en 1985, en passant par le processus de règlement des envoyés onusiens au Sahara et leur échec collectif dans la résolution du conflit, l’ambassadeur marocain s’est longuement arrêté sur l’importante évolution qui a eu lieu en 2007, quand le Maroc a proposé avec son inspiration historique solide en matière de règlement pacifique des conflits, la proposition d’autonomie dont tous les rapports onusiens ont salué le sérieux et le réalisme et que la communauté internationale a salué dans l’espoir de secouer le statut quo qui a duré de 1996 à 2006, et mettre fin à un conflit qui a duré plus de 3 décennies.

    Sources : le site politique du Sahara occidental : 
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